"Mobilisation gouvernementale pour l'apprentissage".... Et pour les LP, c'est quand ?
Le 19 septembre, le président de la République a une nouvelle fois fait l’apologie de l’apprentissage.
Comme le patronat, il reprend, avec la ministre de l’Education, l’idée que la formation professionnelle sous statut d’apprentissage serait le remède miracle pour combattre le chômage des jeunes. Cette idée est fausse. Les différentes études réalisées par le CEREQ (Centre d’Etudes et de Recherche sur l’Emploi et les Qualifications) de 2005 et de 2012 le montrent : 7 mois après leur sortie, 54 % seulement des jeunes titulaires d’un CAP par apprentissage ont trouvé un emploi. On sait que le taux de rupture en cours de contrat est d’environ 34 %.
Au final, comme l’a écrit la confédération CGT à l’issue de cette conférence, seulement 27 % des jeunes entrés en CAP par apprentissage vont à l’emploi !...
Comme le patronat, il reprend, avec la ministre de l’Education, l’idée que la formation professionnelle sous statut d’apprentissage serait le remède miracle pour combattre le chômage des jeunes. Cette idée est fausse. Les différentes études réalisées par le CEREQ (Centre d’Etudes et de Recherche sur l’Emploi et les Qualifications) de 2005 et de 2012 le montrent : 7 mois après leur sortie, 54 % seulement des jeunes titulaires d’un CAP par apprentissage ont trouvé un emploi. On sait que le taux de rupture en cours de contrat est d’environ 34 %.
Au final, comme l’a écrit la confédération CGT à l’issue de cette conférence, seulement 27 % des jeunes entrés en CAP par apprentissage vont à l’emploi !...
Lire la suite dans le 4 pages "Spécial Apprentissage"
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