dimanche 30 novembre 2014

L'apprentissage : l'outil du gouvernement pour casser le statut des personnels

A l'occasion d'un séminaire national de l'encadrement sur le développement de l'apprentissage dans les EPLE, mardi 18 novembre 2014, le ministère de l'Éducation nationale a explicitement désigné le statut des enseignant-e-s comme un frein au développement de l'apprentissage. 
Ainsi, Jean-Pierre Collignon, pour l'inspection générale de l'administration de l'éducation nationale et de la recherche (IGAENR) a déclaré à l'AEF que "travailler sur le statut des enseignants" est un des leviers pour développer l'apprentissage dans les EPLE. "On ne pourra pas le [faire] qu'avec des heures supplémentaires", a-t-il précisé.
Najat Vallaud-Belkacem, ministre de l'Éducation nationale, a elle-même déclaré à l'AEF qu'il s'agissait là d'une "vraie question" en évoquant une redéfinition des missions des personnels.
Visiblement, imposer une concurrence déloyale aux lycées professionnels, avec l’apprentissage, ne suffit pas : il s'agit non seulement de les faire disparaître mais en plus de s'en prendre aux enseignant-e-s !
La CGT Éduc'action ne laissera pas le gouvernement casser le statut des personnels, a fortiori sous couvert du développement idéologique de l'apprentissage et construira le rapport de force à la hauteur des attaques comme elle l’avait fait en 2000.
Du 27 novembre au 4 décembre 2014, lors des élections professionnelles, les personnels de l'Éducation nationale doivent porter leurs voix sur la CGT Éduc'action pour défendre le service public d’Éducation et ses personnels !
Montreuil, le 20 novembre 2014
Le communiqué au format 

Les congés de maladie des agents non titulaires

En cas d'accident du travail ou de maladie professionnelle, consulter : 

La maladie

 Voir notre article détaillé "Textes sur la maladie" de la rubrique "Santé"
Fiche 1
L’assurance maladie des agents de l’État

 p. 3 et 4

Fiche 2
Les différents types de congés pour maladie pour les titulaires et les stagiaires
p. 5 à 9
Fiche 3
Les différents types de congés maladie pour les non titulaires et reclassement éventuel
p. 10 à 12
Fiche 4
Le décompte des congés
p. 13
Fiche 5
Les droits du fonctionnaire pendant les congés maladie
p. 14
Fiche 6
Le temps partiel thérapeutique
p. 15 à 17
Fiche 7
Adaptation du poste de travail et reclassement des fonctionnaires de l’État dans un emploi d'un autre corps pour inaptitude physique 
(Adaptation du poste de travail des personnels enseignants, d’éducation et d’orientation confrontés à une altération de leur état physique)
p. 18 à 24
Fiche 8
Les médecins agréés, les comités médicaux et les commissions de réforme
p. 25 à 33
Fiche 9
Sommaire de la circulaire n° 1711 34/CMS et 2B9 du 30.01.89 : Protection sociale des fonctionnaires et stagiaires de l’État contre les risques maladie et accidents de service.
p. 34 et 35
Fonction publique : congés de maladie (sur service-public.fr)

Les déclarations de la CGT au CTM

CTM DU 19 NOVEMBRE 2014

La CGT Educ'action soutient les mobilisations contre les violences policières

Depuis plusieurs semaines, le gouvernement utilise les violences policières contre certaines mobilisations qui vont à l'encontre de sa politique. Ces violences ont entraîné la mort de Rémi Fraisse à Sivens. De nombreu-ses-x manifestant-e-s ont été blessé-e-s et agressé-e-s comme à Toulouse où ils protestaient contre ces violences...
Les atteintes aux libertés publiques se multiplient avec, par exemple, l'interdiction d'Assemblées Générales d'étudiant-e-s ou de lycéen-ne-s, ou la fermeture d’une Université, à Rennes ou en Région parisienne.
Certains médias n’hésitent pas à relayer la propagande du pouvoir en ne parlant que de "casseurs", ignorant à la fois les revendications de celles et ceux qui se mobilisent et l'attitude du gouvernement Valls pour qui la violence est la seule réponse.
La CGT Éduc'action soutient les mobilisations, en particulier celles des lycéen-ne-s et des étudiant-e-s, contre les violences policières. 
Montreuil, le 20 novembre 2014
Le communiqué au format 

mercredi 26 novembre 2014

Le Petit Cahier N°31

Le Petit Cahier N°31 : Le télécharger 
Publication nationale 1° degré de la Cgt Educ'Action
N°31 Novembre 2014

Sommaire :
Editorial  p1 
Éducation prioritaire p2 
RASED p2
Rythmes p3
Socle commun p4
AESH p5
Élections professionnelles p6




La CGT gagne une amélioration de la situation des non-titulaires : Poursuivons l’action contre la précarité !

La CGT, après plusieurs mois de négociations, a obtenu une amélioration du décret 86-83 qui régit la situation des non-titulaires.
N’hésitez pas à vous rendre sur notre site internet (www.unsen.cgt.fr) où vous trouverez un Guide complet spécial non-titulaires et les textes...
Lire la suite dans notre 4 pages Spécial Non-titulaires de la CGT-Éduc'action (Nov. 2014)

Bulletin d'information CLG N°8 (nov.- déc. 2014)

POUR UN COLLÈGE UNIQUE
ENFIN DÉMOCRATIQUE
ÉDUCATION PRIORITAIRE : une nouvelle carte inacceptable !
Lire le contenu dans notre bulletin d'information au format  (nov.-déc. 2014)

lundi 24 novembre 2014

Mouvements 2015

  • Notre journal national "PEF Spécial mutations 2015" avec toutes les explications sur le mouvement du 1er2nd degré, ATSS et sur les demandes de postes à l'étranger ou dans les DOM-COM-POM
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  • Emplois et procédure d'affectation dans les établissements d'enseignement supérieur - année 2016 : Voir note de service 2015- du --/06/2015
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PEF 133 Novembre 2014

Sommaire : 
p. 2 Actualités
p. 3 Édito
p. 4/5 Premier et second degrés
p. 6 La Collective
p. 7 Vie syndicale
p. 8 Retraités
p. 9 Page pratique
p. 10 RESF
p. 11 à 35 - Mouvement 2015 : Premier et Second degrés / ATSS
p. 36 Coordonnées académiques

Modernisation des métiers de l'Éducation : ni refondation, ni revalorisation, le chantier n’est pas fini !

La ministre de l'Éducation nationale a présenté, jeudi 13 novembre 2014, la conclusion de quatorze groupes de travail sur l’évolution des métiers
La plupart des "annonces" n'en étaient pas, comme par exemple les évolutions statutaires dans le second degré que la CGT Éduc'action a rejetées. Celles-ci n'étaient pas de nature à permettre une amélioration pour tou-te-s les enseignant-e-s... 
Lors de cette réunion-bilan, la mise en place d'un quinzième groupe de travail concernant les personnels de la formation continue a été confirmée.
Globalement, les personnels enseignant-e-s, d'éducation, d'orientation, les personnels administrati-ves-fs, technicien-ne-s, de laboratoire, de santé et sociaux seront déçu-e-s de ces annonces qui n'apportent aucune amélioration réelle de leur situation. L’introduction de certaines primes est la seule réponse ministérielle à la baisse du pouvoir d'achat des personnels (- 14 % depuis 2000 et un gel du point d'indice depuis juillet 2010). Cette situation est non seulement insuffisante mais surtout inquiétante quant à la conception du service public qu'a le gouvernement.
En intensifiant le recrutement de personnels non-titulaires depuis la mise en œuvre de la loi Sauvadet, c’est la première fois qu’un gouvernement "de gauche" n’engage pas de plan de titularisation. De plus, il ne mets pas en œuvre de manière satisfaisante la loi de résorption de la précarité.
La CGT Éduc'action considère, pour certains groupes de travail, que les calendriers d'application et les conclusions sont flous et que celles-ci sont marquées par la politique d'austérité. La CGT Éduc'action continue de revendiquer une augmentation immédiate de 400 euros par mois pour tou-te-s les personnels, en rattrapage du pouvoir d'achat perdu et la titularisation des personnels précaires sans condition de concours ni de nationalité.
La CGT Éduc'action porte des propositions ambitieuses pour faire évoluer l’École vers une École émancipatrice qui respecte TOUS les personnels. C’est à ces conditions que nous pourrions parler de véritable modernisation. Les annonces faites ressemblent davantage à une opération de communication, rien de plus.
Montreuil, le 17 novembre 2014
Le communiqué au format 

Quand la santé est le parent pauvre de l’Éducation nationale !

Le rapport qui vient d’être remis sur la médecine de prévention dans les trois versants de la Fonction Publique démontre clairement la pénurie de médecins et le manque de réelle prise en compte des questions de santé des personnels par la puissance publique...
Encore une fois, l’Éducation nationale se distingue par son indigence dans ce domaine : 83 médecins de prévention (64,7 Equivalents Temps Pleins) pour 898 000 agents, soit un ratio d’un médecin pour 13 900 agents quand, dans le secteur privé, le ratio est d’un médecin pour 1 412 salariés !
De plus sur les 83 médecins, 38 seulement disposent effectivement de la qualification de médecins du travail, et parmi les 83 médecins, seuls six sont titulaires.
Mais il y a plus grave encore : 5 académies (Besançon, Guyane, Limoges, Orléans-Tours, Reims) et Mayotte ne disposent d’aucun médecin de prévention !
Le mot d’ordre de la politique de l’Éducation nationale en ce domaine semble être : circulez, il n’y a rien à voir ! Malgré les promesses récurrentes du ministère, rien n’avance.
Montreuil, le 17 novembre 2014
Le communiqué au format 

mercredi 19 novembre 2014

4 pages "Vie scolaire" (novembre 2014)

Les rentrées se suivent et hélas se ressemblent
A la rentrée 2014, quel bilan ?
Nous attendons toujours le changement, allons-nous enfin le voir un jour…
Il paraît que l’Ecole reste une des priorités du nouveau gouvernement, oui mais quelle école ? Entre les cadeaux faits au patronat, l’instauration d’une véritable politique de rigueur, l’école serait épargnée ?
Lire la suite dans notre 4 pages Vie scolaire (nov. 2014) 

Les agents non-titulaires de la FPE dans l'Éducation nationale (MAJ Nov. 2014)

Guide juridique et syndical "Les agents non titulaires de la Fonction publique d’État dans l’Éducation nationale" (nov. 2014) 

Préambule

p. 2
Sommaire

p. 3
Fiche 1

Les personnels concernés par le décret 86-83 du 13 juillet 1983 modifié p. 4
Fiche 2

Modalités de recrutement et nature des contrats p. 5 à 9
Fiche 3

Renouvellement des contrats CDD : Principe  et procédure p. 10 à 11
Fiche 4

Les rémunérations des agents non-titulaires dont les enseignants p. 10 à 14
Fiche 5

La Commission Consultative Paritaire (CCP) compétente à l’égard des agents non-titulaires relevant du MEN p. 15 et 16
Fiche 6

Droits et obligations des agents non titulaires de droit public de l’Etat p. 17 à 19
Fiche 7 La réglementation en matière de maladie, de maternité, de paternité, d’invalidité, d’accidents du travail et de maladies professionnelles p. 20 à 22
Fiche 8 Les congés : Congés annuels, congés pour formation professionnelle ou syndicale … Congés non rémunérés pour raisons familiales ou personnelles p.23 à 27
Fiche 9

Mise à disposition et congé de mobilité p.28 à 29
Fiche 10

Le temps partiel p.30 à 33
Fiche 11

Licenciement et indemnité p.34 à 38
Fiche 12

Suspension et discipline

Bulletin d’information LGT N°9 (Nov.- Dec. 2014)

Vers la construction d’un lycée de la réussite pour toutes et tous
Le Lycée Unique et Polytechnique 
Dressons le bilan des dégâts de la réforme du lycée ! 
Pour le retour à un véritable enseignement technologique 
Pour l’amélioration des conditions de travail des personnels, la CGT Educ’action revendique :
Lire la suite dans notre bulletin d'information  au format 

Affectation des personnels du 1er et 2nd degré à l'étranger ou dans les COM : rentrée 2015

Second degré :
1er degré :
Etranger :
Actions de formation continue destinées aux enseignants en fonction dans les écoles et établissements d'enseignement français à l'étranger

Personnels enseignants du second degré, d'éducation et d'orientation - rentrée 2015
Mise à disposition de la Nouvelle-Calédonie des personnels enseignants du second degré, d’éducation et d’orientation - rentrée de février 2015  
Les demandes doivent être déposées entre le jeudi 22 mai 2014 à 12 h et le jeudi 05 juin 2014 à 12 h par voie électronique sur le site Siat, accessible à l'adresse http://www.education.gouv.fr/, rubrique « concours, emplois, carrières » puis « les personnels enseignants, d'éducation et d'orientation ». Un dossier accessible dans cette rubrique permet de saisir directement la candidature et les vœux...
Lire la note de service n° 2014-052 du 14-4-2014
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Affectation à Wallis-et-Futuna des personnels enseignants du second degré, d’éducation et d’orientation - rentrée de février 2015
Les demandes doivent être déposées via internet sur le site Siat : http://www.education.gouv.fr/, rubrique « concours, emplois, carrières » puis « les personnels enseignants, d'éducation et d'orientation ». Un formulaire en ligne permet de saisir la candidature et les vœux (postes et/ou territoires).
- date limite de dépôt des dossiers de candidature auprès du chef d'établissement ou de service : vendredi 6 juin 2014 ;
- date limite de réception d'un exemplaire du dossier de candidature transmis par les chefs d'établissement au bureau DGRH/B2-2 ,72 rue Regnault, 75243 Paris cedex 13 : mardi 17 juin 2014 ;
- date limite de transmission d'un exemplaire du dossier de candidature au vice-rectorat de Wallis-et-Futuna, BP 244, Mata-Utu, 98600 Wallis-et-Futuna : mardi 1er juillet 2014.
Lire note de service n° 2014-053 du 14-4-2014
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Mobilité des personnels enseignants du second degré : mises à disposition auprès de la Polynésie française de personnels enseignants, d'éducation, d'information et d'orientation de l'enseignement du second degré - rentrée 2015  
Dépôt des candidatures et formulation des vœux : du 14 novembre 2014 au 26 novembre 2014 
Les candidatures doivent impérativement être déposées entre le 14 novembre 2014 et le 26 novembre 2014, par voie électronique sur le site Siat, accessible à l'adresse http://www.education.gouv.fr/ - rubrique « Concours, emplois et carrières », puis « Personnels enseignants ». Un dossier, accessible dans cette rubrique, permet de saisir directement la candidature et les vœux. Ce dossier est ensuite imprimé, signé par l'agent et expédié suivant les procédures indiquées au § II de la note de service n° 2014-147 du 06/11/2014.
Lire la note de service n° 2014- 147 du 06/11/2014
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Mobilité des personnels enseignants du second degré : affectation des personnels enseignants du second degré, d'éducation et d'orientation à Saint-Pierre-et-Miquelon et des personnels d'éducation et d'orientation à Mayotterentrée 2015
Dépôt des candidatures et formulation des vœux : du 02 au 15 décembre 2014
1) Personnels résidant en France métropolitaine et dans les départements d'outre-mer
2) Personnels résidant dans une collectivité d'outre-mer ou à l'étranger
Les candidatures doivent être impérativement déposées entre le 02 décembre 2014 et le 15 décembre 2014 par voie électronique sur le site Siat accessible à l'adresse : http://www.education.gouv.fr/ - rubrique « Personnels, concours, carrières » puis « Enseignants ». Un dossier accessible dans cette rubrique permet de saisir directement la candidature et les vœux. Ce dossier est ensuite imprimé, signé par l'agent et expédié suivant les procédures indiquées au § II de la note de service n° 2014-146 du 06/11/2014.

Lire la note de service n° 2014- 146 du 06/11/2014
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Personnels enseignants du premier degré spécialisés - rentrée 2015

Nouvelle-Calédonie 

Mise à disposition de la Nouvelle-Calédonie des personnels enseignants spécialisés du premier degré - rentrée de février 2015
Note de service n° 2014-108 du 14-8-2014
Dossier de candidature Nouvelle-Calédonie - rentrée 2015
Polynésie française
Mises à disposition de la Polynésie française des personnels enseignants spécialisés du premier degré - rentrée 2015
Note de service n° 2014-109 du 14-08-2014
Dossier de candidature pour la Polynésie française
Le dossier, une fois édité et complété, est obligatoirement signé par le candidat, puis remis avant le 28 novembre 2014  accompagné des pièces justificatives (dernier rapport d'inspection, dernier arrêté de promotion d'échelon, copie du diplôme de spécialisation) au supérieur hiérarchique direct qui portera son avis sur la candidature de l'intéressé, ainsi que son appréciation sur la manière de servir de ce dernier. Les avis doivent être motivés (appréciations détaillées). Le dossier sera ensuite transmis au directeur(trice) académique des services de l'éducation nationale du département concerné : celui(celle)-ci, après avoir émis également son avis sur la candidature, joindra au dossier la fiche de synthèse du candidat et le transmettra en double exemplaire au plus tard le 12 décembre 2014 au vice-rectorat de la Polynésie française, BP 1632, rue Edouard Ahne, 98713 Papeete, Polynésie française.
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Personnels enseignants, d'éducation et d'orientation : être détaché à l'étranger
Voir note de service n° 2014 113 du 18-8-2014 : "Candidatures à un poste relevant des réseaux de l'Agence pour l'enseignement français à l'étranger, de la Mission laïque française, et de l'Association franco-libanaise pour l'éducation et la culture - rentrée scolaire 2015-2016"
Le dossier de candidature devra être saisi en ligne sur les sites internet de :
- l'AEFE http://www.aefe.fr/, entre le 04 et le 25 septembre 2014 inclus ;
- la MLF : www.mlfmonde.org/ (section « Recrutement »), entre le 04 septembre  et le 25 septembre 2014 inclus.
- l'AFLEC : http://www.aflec.net/ (rubrique « Postes ») entre le 04 septembre et le 25 septembre 2014 inclus.

Actions de formation continue destinées aux enseignants en fonction dans les écoles et établissements d'enseignement français à l'étranger - session 2015

Dépôt des candidatures
Les personnels qui désirent participer à l'une de ces actions de formation devront compléter une fiche de candidature téléchargeable sur le site suivant :
www.aefe.fr (rubrique Pédagogie/dossier Formation Continue/télécharger les documents stages DGESCO).
Le candidat :
- remettra une fiche papier en deux exemplaires à son chef d'établissement ;
- transmettra par courrier électronique, pour information, sa fiche de candidature à l'inspecteur de l'éducation nationale de zone de résidence pour les personnels du premier degré.
Le chef d'établissement sera chargé :
- d'émettre un avis motivé sur chacune d'elles et de classer par ordre préférentiel l'ensemble des candidatures de son établissement, pour chacun des stages demandés ;
- de transmettre en un seul envoi la totalité des fiches de l'établissement dans leur version papier, au conseiller de coopération et d'action culturelle.
Pour le premier degré, l'avis de l'IEN en résidence est obligatoire. Il proposera un classement des dossiers du premier degré avant transmission au conseiller de coopération et d'action culturelle.
Il appartiendra au conseiller de coopération et d'action culturelle :
- d'émettre un avis sur chaque fiche ;
- de classer toutes les fiches provenant des établissements de son pays de résidence, pour chacun des stages demandés, selon un ordre de priorité décroissant ;
- de transmettre ces fiches, en un seul envoi à l'Agence pour l'enseignement français à l'étranger - Service pédagogique - 23 place de Catalogne 75014 Paris.
Ces fiches devront parvenir à l'Agence pour l'enseignement français à l'étranger pour le vendredi 19 décembre 2014 le délai de rigueur.
L'attention des autorités hiérarchiques est attirée sur les points suivants relatifs à l'examen des candidatures :
- priorité sera accordée aux enseignants n'ayant pas bénéficié récemment d'une formation et appelés à rester dans leurs fonctions ;
- les documents scannés ne pourront pas être pris en compte ;
- le non respect des dates et instructions données ci-dessus entraînera le rejet des dossiers de candidature

lundi 17 novembre 2014

PEF 133 Novembre 2014

Sommaire : 
p. 2 Actualités
p. 3 Édito
p. 4/5 Premier et second degrés
p. 6 La Collective
p. 7 Vie syndicale
p. 8 Retraités
p. 9 Page pratique
p. 10 RESF
p. 11 à 35 - Mouvement 2015 : Premier et Second degrés / ATSS
p. 36 Coordonnées académiques

Mouvement 2015 1er degré

MUTATION 2015
CHANGEMENT DE DÉPARTEMENT DES ENSEIGNANTS DU PREMIER DEGRÉ - RENTRÉE 2015
  • Textes officiels
  • Publications syndicales
  • Dossier syndical de mutation
 Demandes de mutation uniquement par internet via I-Prof.
Ouverture du serveur : du 20 novembre (12h) au 9 décembre 2014 (12 h).
  • Accès par Internet au système d’information et d’aide aux mutations (SIAM)
    L’accès à SIAM peut se faire de tout poste informatique connecté à Internet selon les modalités suivantes.
    Pour se connecter, l’enseignant doit :
    Accéder sur son “bureau virtuel” en tapant l'adresse internet http://www.education.gouv.fr/personnel/iprof.html
    Cliquer sur le lien “accéder à I-Prof par l’académie” (une carte des académies apparaît), puis sur l’académie où il est actuellement affecté ;
    S’authentifier en saisissant son “compte utilisateur” et son “mot de passe” qui lui ont déjà été communiqués lors du déploiement du projet I-Prof dans votre département, puis valider son authentification en cliquant sur le bouton “Connexion” ;
    Attention : Si l’enseignant a modifié son mot de passe en utilisant les outils proposés par le bureau virtuel, il doit continuer à l’utiliser pour de nouvelles connexions.
    Ensuite, il doit cliquer sur l'icône I-Prof pour accéder aux différents services Internet proposés dans le cadre de la gestion de sa carrière.
    Enfin, il doit cliquer sur le bouton “Les services”, puis sur le lien “SIAM” pour accéder à l’application SIAM premier degré.
    Cette application permet à l’enseignant en particulier de saisir ses vœux de mutation et de consulter les éléments de son barème ainsi que les résultats du mouvement interdépartemental.
    Attention : L’enseignant ayant initié une demande de mutation par SIAM recevra son accusé de réception uniquement dans sa boîte électronique I-Prof. Vous informerez précisément les candidats de cette modalité.
    Inscription en ligne sur I-prof SIAM
Pour plus d'information, consulter notre page 1er degré,  rubrique : (A jour prochainement)
"Mouvement national interdépartemental 1° degré 2015 "comprenant la fiche de suivi syndical "papier" et "électronique" 
(Voir ci-dessous)

ELECTIONS : "4 pages UGFF" AVEC LA CGT, REVENDIQUONS UNE ACTION SOCIALE INTERMINISTÉRIELLE DIGNE DE CE NOM !


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Le nouveau Fonction Publique N°223 est disponible

La version 223 du journal mensuel "Fonction Publique", est sortie !
Vous aviez pu découvrir le Le nouveau "look" de notre journal lors de la publication du numéro 222. Conformément à une décision de la Commission Exécutive de l’UGFF, cette nouvelle mise en page se voit allégée des pages centrales consacrées à un dossier. Ces pages s’avérant insuffisantes pour traiter pleinement de certaines thématiques, elles sont remplacées par un supplément trimestriel qui traitera plus complètement du sujet.
Par ailleurs, la même Commission Exécutive de l’UGFF a décidé de l’expédition de notre publication à tous les militant-e-s en responsabilité ou/et exerçant un mandat pour notre organisation. Si vous ne recevez pas la version papier vous pouvez en avertir votre syndicat qui, après rectification de ses fichiers, nous adressera sa liste, de ses destinataires de notre publication, mise à jour. Cette mise à jour viendra écraser la version précédente. Par conséquent, l’UGFF ne procédera à aucune mise à jour individuelle.

jeudi 13 novembre 2014

Non au classement des collèges !

La société France-Examen a publié le 5 novembre 2014 un classement des collèges privés et publics selon le taux de réussite au brevet 2013. 
La CGT Éduc'action et le SNEIP-CGT s'insurgent contre cette pratique qui revient à enfoncer l'école encore plus dans une libéralisation. L'objectif de cette société est de se faire de la publicité pour ses cours de soutiens scolaires. Tous les moyens sont bons pour augmenter son bénéfice, il faut dire que le chiffre d'affaire de la société ne tourne qu'autour de 3 millions d'euros. Pour ce faire, France-Examen joue sur les peurs des parents en utilisant des personnels enseignant-e-s des établissements scolaires et des personnels ultra-précaires. Est-ce donc là la vision de l'école du futur ? Libéralisation totale, concurrence entre les établissements, précarité...
Une fois n'est pas coutume (mais peut-être avons-nous mal lu ?), le SNEIP-CGT et la CGT Éduc'action rejoignent les propos du Secrétaire Général Adjoint de l'Enseignement catholique (SGEC) à l'AEF le 6 novembre 2014 pour qui il s'agit là d'une "publicité frauduleuse en faveur de l'enseignement privé". Sur le fond, le SGEC semble découvrir que l'enseignement privé est, par essence, dans une logique libérale pourtant dénoncée par ce même SGEC comme faisant de "l'éducation un produit de consommation". Soyons rassuré, le SGEC n'ira pas jusqu'au bout de sa logique qui serait la nationalisation de l'enseignement privé. Quoique...
La CGT Éduc'action et le SNEIP-CGT s'opposeront à toutes les pratiques qui visent à libéraliser l'école, via le contournement de la carte scolaire et la mise en concurrence des établissements entre eux. 
Montreuil, le 12 novembre 2014

Le contrat unique n’est pas une idée neuve

L’idée du contrat unique n’est pas neuve et c’est à la faveur, par exemple, de l’attribution du prix Nobel d’économie au Français Jean Tirole que le projet est ressorti des placards par Manuel Valls qui veut le mettre à l’agenda social.

Rendons à César ce qui est à César, c’est Nicolas Sarkozy, ministre de l’Economie qui, en 2004, a promu ce contrat unique figurant dans un rapport sur une « sécurité sociale professionnelle » qu’il avait commandé à deux économistes.
L’esprit de ce contrat était la colonne vertébrale du fameux CNE, mis en œuvre l’année suivante par Dominique de Villepin, Premier ministre. _ Le Contrat nouvelles embauches (CNE) permettait aux entreprises de moins de 20 salariés de recruter sur la base d’un vrai-faux CDI avec une période d’essai de deux ans censé se convertir ensuite en CDI classique.

Le CNE s’est substitué aux autres contrats sans créer d’emplois

La suite a été calamiteuse pour les salariés et il n’a pas fallu six mois pour que soient examinés les premiers recours en justice pour rupture abusive de contrat. Devant l’insécurité juridique ainsi créée, le nombre de CNE signés n’a cessé de chuter.
En juin 2006, s’appuyant sur une enquête menée par le ministère de l’Emploi (Dares) et l’Acoss, Maryse Dumas, alors secrétaire confédérale de la CGT, affirmait que" le CNE ne crée pas d’emplois et se traduit essentiellement par un effet de substitution au CDD ou aux CDI".
En novembre 2007, l’Organisation internationale du travail (OIT) critiquait le CNE et invitait le gouvernement à renégocier avec les "partenaires sociaux". Finalement, fin janvier 2008 le CNE était supprimé avant d’être est abrogé en juin.
Enfin en juillet 2008, la Cour de cassation mettait une dernière claque au CNE en le jugeant définitivement "contraire aux dispositions" de l’Organisation internationale du travail (OIT).

Le CPE balayé par la rue

Le 16 janvier 2006, Dominique de Villepin annonce la création du "contrat première embauche" (Cpe) qui n’est autre qu’une sorte de contrat unique applicable aux jeunes de moins de 26 ans dans les entreprises de plus de vingt salariés. Il prévoit, comme le Cne, une période d’essai de deux ans durant laquelle le salarié peut être licencié sans motif. Le 10 avril, après une mobilisation unitaire sans guère de précédent, le Premier ministre sera contraint d’y renoncer.
En dépit de ces revers, Nicolas Sarkozy avait inscrit l’idée d’un CTU (Contrat de Travail Unique) à son programme présidentiel. Il exonérait les entreprises de trouver une solution de reclassement au salarié mis à la porte et les dispensait d’avancer un motif économique pour obtenir la rupture du CDI. En compensation, le salarié licencié et les pouvoirs publics obtenaient une indemnité correspondant à 10% des salaires versés depuis le début du contrat. Heureusement, voilà une promesse qui n’a pas vu le jour.

Contrat unique pour une précarité généralisée

Aujourd’hui que le débat reprend sur ce sujet, la Confédération générale des Petites et moyennes entreprises (CGPME) se dit notamment intéressée par ce fameux contrat unique. Elle le verrait ainsi : "pour ces salariés nouvellement embauchés, on mettrait des objectifs globaux de résultats d’entreprise, par exemple de maintien de l’activité économique pendant trois ans. Si l’activité se maintient, le salarié reste, s’il y a un retournement de conjoncture on considère que ce serait un motif réel et sérieux de licenciement".
On le voit donc, pas plus aujourd’hui qu’hier le contrat unique ne répond pas à un objectif de lutter contre la précarité. Bien au contraire puisqu’il vise à ce que l’on ait un contrat qui pendant deux ans va permettre aux entreprises de pouvoir se séparer des salariés comme elles le souhaitent.
Toujours sur la ligne "les licenciements d’aujourd’hui font les emplois de demain", le patronat entend par ce contrat unique faciliter l’embauche en facilitant le licenciement mais aussi sécuriser la rupture du contrat de travail en rendant impossible ou inopérant les recours juridiques.

Contrats de travail : Un état des lieux des cadeaux au patronat

Temps partiels, annualisation, missions, CDD, contrats aidés, sont autant de contraintes qui pèsent sur les salariés, à qui l’on supprime des droits, à qui l’on impose des horaires, un salaire... et une vie de précarité.

Cette multiplication des contrats n’a été possible que sous la pression du patronat, au prétexte d’une compétitivité accrue des entreprises et avec l’alibi d’une baisse du chômage, au prix d’une flexibilité obligée des salariés.
Certains contrats ne concernent que quelques secteurs professionnels, d’autres ne s’adressent qu’à des publics particuliers (jeunes, seniors, chômeurs en fins de droits...) mais tous ont en commun de diviser les salariés et de leur imposer de nouvelles formes de travail dans lesquelles ils sont rarement gagnants et n’ont pas souvent leur mot à dire.
En réalité, ces contrats permettent surtout aux entreprises un recours facilité à une main d’œuvre jetable, sous payée et disposant de peu de droits, ou hésitant à s’en emparer quand il y en a, par peur d’une précarisation plus grande encore. De plus, un certain nombre de contrats permettent de bénéficier d’exonérations diverses qui encouragent les entreprises à embaucher à moindre coût sans état d’âme.
Après avoir morcelé les formes d’embauches, en ajoutant des spécificités par public, par branche, par type, sous prétexte d’adaptation aux besoins des entreprises, le Medef voudrait aujourd’hui simplifier le contrat de travail en proposant un contrat unique ?
Peut-on raisonnablement penser que l’idée d’un contrat unique ira dans le sens d’une amélioration des conditions de travail, de salaire et de vie des salariés ?
Survol rapide et non exhaustif de ce qui existe aujourd’hui, afin de comprendre ce qui se cache derrière ce projet.
Le contrat à durée indéterminée (CDI) ne précise pas la durée d’embauche, il est donc la forme la plus stable d’emploi.
Or, en 2008, dans le cadre de l’accord « modernisation du marché du travail » il lui a été rajouté la possibilité d’une rupture dite "conventionnelle". Dénoncé par la CGT, ce dispositif a en effet démontré ses effets pervers et l’utilisation abusive qui en a été faite par les entreprises plutôt que par les salariés.
S’il reste le contrat le plus sécurisant pour le salarié, il n’en a pas moins été fragilisé par cet aménagement. De plus, CDI peut aussi vouloir dire contrat de travail à temps partiel. Enfin, il est de moins en moins proposé à l’embauche, les entreprises préférant d’autres contrats moins contraignants pour elles.
En effet, le recours aux différents contrat à durée déterminée (CDD) ne cesse d’augmenter : de 66% en 2000, il atteint désormais plus de 82% (chiffres 2013) des recrutements.
Le CDD ne peut, théoriquement, être conclu que pour l’exécution d’une tâche précise et temporaire, dans des cas déterminés et pour des durées variant selon les motifs de recours et sa durée ne peut, renouvellement compris, excéder 18 mois. Mais il en existe plusieurs déclinaisons, telles que le CDD senior, le CDD à objet défini, etc. qui permettent de porter la durée totale d’un CDD à 36 mois. A la fin du CDD, le salarié doit recevoir une indemnité de congés payés et une indemnité de précarité... sauf dans le cas des contrats de professionnalisation, des jobs d’été étudiants et des emplois saisonniers.
Variante du CDD, le contrat de travail temporaire ou intérimaire est conclu entre un salarié et une agence d’interim, qui met celui-ci à disposition d’une entreprise pour l’exécution d’une mission. Chaque mission génère un nouveau contrat à durée déterminée, qui peut aller d’une journée à 24 mois, voire 36 mois, dans le cas des apprentis.
Les chiffres de 2011 font apparaitre que la moitié des salariés en CDD le sont à temps partiel, et que dans ces temps partiels, 22% ne travaillent pas plus de 12h par semaine.
De plus, entre 2008 et 2011, le développement de l’activité réduite s’est accéléré (+ 34 %), principalement parmi les femmes et les seniors.
Le contrat de travail intermittent est un contrat à durée indéterminée mais il prévoit l’alternance de périodes travaillées et non travaillées, qui doivent être motivées par les fluctuations d’activités d’une entreprise, dans certains secteurs prévus par la loi. Il peut prévoir les modalités de lissage de rémunération versée au salarié, qui percevra un salaire mensuel indépendant de l’horaire réellement effectué dans le mois.
Le contrat d’apprentissage fait alterner enseignement théorique en centre de formation d’apprentis (CFA) et enseignement d’un métier chez l’employeur. Le contrat d’apprentissage peut varier de 1 à 3 ans en fonction du type de profession et de qualification. Ce type de contrat donne à l’entreprise un droit à une exonération, totale ou partielle de cotisations sociales, à une prime à l’apprentissage versée par la Région aux entreprises de moins de 11 salariés, à un crédit d’impôt, etc. Par ailleurs, le salaire versé à l’apprenti durant la durée de son contrat varie en fonction de son âge et de son avancement dans l’apprentissage : de 25% du SMIC en première année à 53% du SMIC en troisième année, pour un jeune de moins de 18 ans.
A la différence du contrat d’apprentissage, le contrat de professionnalisation s’effectue intégralement en entreprise et s’adresse à un vaste public : jeunes âgés de 16 à 25 ans révolus, demandeurs d’emploi âgés de 26 ans et plus et bénéficiaires de certaines allocations ou contrats. Son objectif est de permettre d’acquérir une qualification professionnelle. Les bénéficiaires âgés de 16 à 25 ans sont rémunérés de 55 à 80% du SMIC selon leur âge et leur niveau de formation, les salariés âgés de 26 ans et plus perçoivent une rémunération qui ne peut être ni inférieure au SMIC ni à 85 % du salaire minimum conventionnel. Ce CDD a une durée de 6 à 24 mois et offre à l’entreprise, pour certaines embauches et dans certaines limites, une exonération de cotisations patronales d’assurances sociales et d’allocations familiales. Les titulaires des contrats de professionnalisation ne sont pas pris en compte dans le calcul de l’effectif du personnel.
Ont été également mis en place divers contrats spécifiques, destinés à l’insertion professionnelle des personnes sans emploi, notamment le contrat unique d’insertion (CUI), dans sa forme contrat d’accompagnement dans l’emploi (CAE) ou contrat initiative-emploi (CIE).
Le CUI peut être conclu sous la forme d’un CDD, dont la durée ne doit pas dépasser 24 mois mais qui peut à titre dérogatoire aller jusqu’à 60 mois. Il ne pourra être interrompu par le salarié que s’il est embauché avec un CDD d’une durée minimale de 6 mois ou en CDI. Le salaire ne peut être inférieur au SMIC pour un temps plein.
Le CUI-CAE permet à l’entreprise de bénéficier d’une aide à l’insertion professionnelle ainsi qu’à une exonération des cotisations au titre des assurances sociales et des allocations familiales, de la taxe sur les salaires, de la taxe d’apprentissage, des participations dues par les employeurs au titre de l’effort de construction.
Pendant la durée d’attribution de l’aide à l’insertion professionnelle, les titulaires d’un CUI-CAE ne sont pas pris en compte dans le calcul des effectifs de l’entreprise.
Est-il réaliste de penser que le patronat souhaitera, avec le contrat unique, renoncer aux diverses aides à l’embauche, exonérations et possibilité de ne pas payer les salariés à leur juste prix ?
Le contrat unique, pour le Medef, risque bien de n’être qu’un contrat au rabais, prenant le pire de ce qui existe dans les contrats de travail actuels.
Pour la CGT, s’il doit y avoir un contrat unique ce ne peut être que le CDI, et les garanties qui en découlent.

Pour aller plus loin : Le contrat de travail publié par La NVO