« Il y aura un enseignant devant chaque élève », a déclaré Gabriel Attal fin août. L’année dernière à la même date, notre ancien ministre avait affirmé : « Il y aura un professeur devant chaque classe à la rentrée ». Le même refrain, la même chanson, et les mêmes constats de la CGT Éduc’action.
Une nouvelle fois, nombreux sont les territoires qui manquent d’enseignant·es. L’équation était de toute évidence difficilement soluble ! Et face aux postes non-pourvus en cette rentrée, l’Éducation nationale a, une
nouvelle fois, dû recourir de façon massive aux contractuel·les recruté·es le plus souvent au pied levé, avec une pseudo formation expresse, et ce dans le premier comme dans le second degré.
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