Après la claque aux élections européennes, la dissolution manquée et la nouvelle claque aux élections législatives… ce pouvoir n’accepte toujours pas d’avoir perdu. Les conditions de rentrée, elles, se suivent et se dégradent. La ministre démissionnaire n’essaie même plus de faire croire qu’il y aura un·e enseignant·e dans chaque classe ou que le budget suffira à financer notre École… sans parler des contre-réformes en cours. Nous avons besoin de Services publics de qualité, notamment l’Éducation. Le temps est venu de faire appliquer nos revendications !
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