lundi 27 avril 2015
Tract unitaire pour le 1er mai dans la Manche
Le 1er mai dans la Manche
CHERBOURG
Place du Théâtre
10h30
Place du Théâtre
10h30
GRANVILLE
Cours Jonville
10h30
SAINT-LÔ
Hôtel de Ville
10h30
1 er mai : matériel militant CGT
-
Affiche 1er mai
Publié le 21 avril 2015 -
Tract 1er mai - Noir et Blanc
Publié le 21 avril 2015 • PDF 317.6 ko -
Tract 1er mai - Couleur
Publié le 21 avril 2015 • PDF 283.9 ko
Déclaration des organisations syndicales CGT, FSU, Solidaires, Unsa : Un 1er mai unitaire à dimension européenne pour le progrès social
Le 1er mai, journée de solidarité internationale des travailleurs, aura cette année une dimension européenne particulière.
Dans beaucoup de pays européens, les populations subissent des politiques d’austérité et de réformes, réduisant les droits des travailleurs et leur protection sociale. Il faut stopper ces politiques et investir pour des emplois de qualité et une croissance tenant compte des impératifs de développement durable.
La Confédération européenne des syndicats (CES) a décidé de faire du 1er mai une journée de mobilisation unitaire et convergente des salarié-e-s, retraité-e-s et des chômeurs-es partout en Europe.
Les organisations syndicales françaises affiliées ou non à la CES, CGT, FSU, Solidaires et Unsa, réunies le 15 avril 2015, appellent à y participer pour :
promouvoir la protection sociale,
combattre et réduire le chômage,
permettre la création d’emplois,
développer les investissements pour relancer l’activité économique,
promouvoir les services publics,
améliorer les salaires, les retraites, les pensions et les minima sociaux et promouvoir l’égalité salariale femmes-hommes.
Elles réaffirment, dans la suite du 11 janvier, que la démocratie, la république, la paix, les libertés de pensée et d’expression sont des biens communs qu’elles sont décidées à défendre face à tous les totalitarismes, aux discours haineux, aux tentatives de division et de stigmatisation.
La convergence des mobilisations partout en Europe ce 1er mai sera un signe fort adressé aux différents gouvernements et aux patronats pour exiger une construction européenne fondée sur le progrès social, s’appuyant sur le renforcement du dialogue social et des droits sociaux.
Les organisations syndicales CGT, FSU, Solidaires et Unsa appellent à la réussite des nombreuses manifestations unitaires qui seront organisées dans tout le pays le 1er mai 2015, sur la base de cet appel.
Montreuil, 15 avril 2015
Dans beaucoup de pays européens, les populations subissent des politiques d’austérité et de réformes, réduisant les droits des travailleurs et leur protection sociale. Il faut stopper ces politiques et investir pour des emplois de qualité et une croissance tenant compte des impératifs de développement durable.
La Confédération européenne des syndicats (CES) a décidé de faire du 1er mai une journée de mobilisation unitaire et convergente des salarié-e-s, retraité-e-s et des chômeurs-es partout en Europe.
Les organisations syndicales françaises affiliées ou non à la CES, CGT, FSU, Solidaires et Unsa, réunies le 15 avril 2015, appellent à y participer pour :
promouvoir la protection sociale,
combattre et réduire le chômage,
permettre la création d’emplois,
développer les investissements pour relancer l’activité économique,
promouvoir les services publics,
améliorer les salaires, les retraites, les pensions et les minima sociaux et promouvoir l’égalité salariale femmes-hommes.
Elles réaffirment, dans la suite du 11 janvier, que la démocratie, la république, la paix, les libertés de pensée et d’expression sont des biens communs qu’elles sont décidées à défendre face à tous les totalitarismes, aux discours haineux, aux tentatives de division et de stigmatisation.
La convergence des mobilisations partout en Europe ce 1er mai sera un signe fort adressé aux différents gouvernements et aux patronats pour exiger une construction européenne fondée sur le progrès social, s’appuyant sur le renforcement du dialogue social et des droits sociaux.
Les organisations syndicales CGT, FSU, Solidaires et Unsa appellent à la réussite des nombreuses manifestations unitaires qui seront organisées dans tout le pays le 1er mai 2015, sur la base de cet appel.
Montreuil, 15 avril 2015
samedi 25 avril 2015
Plan de résorption de la précarité : les non-titulaires attendent plus et mieux !
La CGT
Éduc'action interpellera la ministre de l’Éducation nationale lors
d'une audience le vendredi 10 avril 2015, au sujet de l'application de
la loi du 12 mars 2012 sur la "résorption de la précarité"...
Concernant les titularisations promises :
l'échec est net et reconnu par tous. Le plan mis en place ne permet pas
de faire diminuer réellement le nombre de précaires, qui ne cesse
d’augmenter depuis trois ans !
L'annonce, le 16 mars 2015, par la
ministre de la Fonction publique, du prolongement de ce plan de deux
années (jusqu'en 2018) ne change rien au problème de fond. En effet, des
jurys de concours opèrent un blocage sur la Reconnaissance des Acquis
de l'Expérience. De plus, les non-titulaires recruté-e-s après mars 2010
resteront exclu-e-s du dispositif.
Seule une titularisation sans condition de concours ni de nationalité permettrait de réellement résorber la précarité.
D’autre part, les décrets Fonction
publique 2014-364 du 21 mars 2014 et 2014-1318 du 3 novembre 2014,
améliorant la gestion des non-titulaires (encadrement des rémunérations,
encadrement des recrutements, renouvellements et licenciements...),
n'ont toujours pas trouvé leur application concrète au ministère de
l’Éducation nationale. Nous sommes toujours en attente de la circulaire
globale de gestion annoncée lors des chantiers métiers en... janvier
2014. Il y a urgence qu’elle soit publiée pour enfin "encadrer" des
employeurs rectoraux ayant trop souvent la tentation de ne pas respecter
les droits des personnels.
Montreuil, le 8 avril 2015
Le communiqué au format
PÉTITION : Demande d'annulation de la sanction infligée à J-F. Chazerans par le recteur de Poitiers
J-F. Chazerans, professeur de
philosophie au lycée Victor Hugo de Poitiers, a été mis en cause par un
courrier de parent d'élève suite à un cours fait le lendemain de
l'attentat à Charlie Hebdo. Ce jour-là, tous les enseignants, comme J-F.
Chazerans, ont été confrontés à une situation bien difficile : comment
aborder un sujet aussi complexe, dans un moment où l'émotion prenait le
pas sur la réflexion ?
Suite à la réception de ce courrier de
parent, le recteur de l'académie de Poitiers l'a suspendu de ses
fonctions, a fait un signalement au procureur de la république pour «
apologie d'acte de terrorisme » et convoqué une commission disciplinaire
pour « propos inadéquats tenus en classe ».
Malgré le constat fait par l'enquête de
police que les phrases incriminées n'avaient pas été prononcées, malgré
l'abandon des poursuites judiciaires, le recteur a maintenu la
commission de discipline pour « propos inadéquats ». Il inflige
maintenant à ce professeur une sanction grave de mutation d'office, en
zone de remplacement dans un autre département.
Considérant cet enchainement de faits et
le caractère incompréhensible et inacceptable de cette sanction, les
signataires demandent, à Madame la Ministre, qu'elle soit annulée et que
J-F. Chazerans soit rétabli dans ses fonctions au lycée Victor Hugo de
Poitiers.
Communiqué intersyndical sur le projet de réforme du collège
Paris, le 3 Avril 2015
Les organisations syndicales SNES-FSU,
SNUEP-FSU, SNALC-FGAF, SNFOLC, CGT Educ’action et Sud Éducation
expriment leur refus du projet de réforme du collège parce qu’il est
fondé sur l’autonomie des établissements et la multiplication des
hiérarchies intermédiaires sous l’autorité du chef d’établissement. Sa
mise en œuvre institutionnaliserait le principe de mise en concurrence
entre les disciplines, entre les enseignants et entre les
établissements, fragiliserait la structuration disciplinaire du collège
et engendrerait toujours plus d’inégalités entre les élèves...
Elles demandent le retrait de ce projet et la reprise de discussions sur de nouvelles bases.
Elles appellent les personnels du second
degré à se rassembler dans les établissements et en assemblées
générales pour débattre des conditions de l’amélioration du collège et
repousser ce projet de texte.
Nos organisations conviennent de se
revoir après le Conseil Supérieur de l’Éducation du 10 avril qui
examinera le projet ministériel pour discuter et définir les modalités
d’actions nécessaires, y compris la grève.
Le communiqué intersyndical au format
A l'ESPE, faisons respecter nos droits !
La FERC-CGT et l’UNEF s’associent pour informer les étudiant-e-s et stagiaires de l'ESPE de leurs droits afin que chacun-e puisse se défendre.
Vous trouverez dans ce tract les réponses aux principaux problèmes que vous pouvez rencontrer. Pour vous aider, nous organisons des permanences juri-diques à l'université...
Vous trouverez dans ce tract les réponses aux principaux problèmes que vous pouvez rencontrer. Pour vous aider, nous organisons des permanences juri-diques à l'université...
Lire la suite dans le tract commun FERC-CGT et UNEF "A l'ESPE, faisons respecter nos droits !" (avril 2015)
Contrôle en Cours de Formation (CCF) : Indemnité, Pondération, PLP et P.EPS
Le ministère impose un décret instituant
une indemnité de sujétion allouée aux enseignant-e-s assurant un
service en classe de première, de terminale ou préparant à un certificat
d'aptitude professionnelle. Ce décret supprime donc les indemnités de CCF.
Elles sont remplacées par une nouvelle indemnité de sujétion allouée aux enseignants assurant un service d'au moins 6 heures en classe de première ou de terminale Bac pro ou préparant à un CAP.
Le taux annuel de cette nouvelle indemnité est fixé à 300 € (pour la rentrée 2015) et 400 € (pour la rentrée 2016).
Elles sont remplacées par une nouvelle indemnité de sujétion allouée aux enseignants assurant un service d'au moins 6 heures en classe de première ou de terminale Bac pro ou préparant à un CAP.
Le taux annuel de cette nouvelle indemnité est fixé à 300 € (pour la rentrée 2015) et 400 € (pour la rentrée 2016).
Lire la suite dans le tract de la CGT-Éduc'action
Calendrier Scolaire : les élèves sacrifiés sur l’autel du tourisme
En annonçant ce jeudi 2 avril le nouveau
calendrier scolaire pour les trois années à venir, la Ministre de
l’Éducation nationale souhaitait certainement trouver un consensus
autour de cette question récurrente et parfois source de crispation.
Pour la CGT Éduc’action, c’est raté...
Nous regrettons que la construction de
ce calendrier ait été menée en dehors de toute concertation et nous nous
interrogeons sur le poids du contexte électoral et l’influence du monde
économique.
Quant au maintien du zonage, les
explications données indiquent les priorités actuelles du gouvernement :
fusion des régions et faveurs au secteur économique. L’argument de la
sécurité routière et de la fluidification du trafic vers les montagnes,
si il prête à sourire, ne tient pas au regard de la réalité. Rappelons
tout de même que plus de 80 % des élèves ne partent jamais à la
montagne. Pour la CGT Éduc’action, le zonage doit être supprimé pour respecter, au mieux, l’alternance temps d’apprentissage et vacances.
Nous continuons également de dénoncer
une rentrée des enseignant-e-s au mois d’août qui ne prend pas en compte
les dates réglementaires de nomination et qui va obliger, une nouvelle
fois, les stagiaires et les personnels nouvellement affecté-e-s à
travailler sans couverture légale.
Si nous reconnaissons que
l’harmonisation nationale du Pont de l’Ascension va permettre une
égalité de traitement des personnels, nous dénonçons son utilisation
comme leurre pour le calcul des semaines travaillées en fin d’année.
Même en déduisant quatre jours, qui pourra croire que la dernière
période scolaire ne comportera "que" huit semaines…
La CGT
Éduc’action réaffirme que le calendrier scolaire doit avant tout être
pour l’École et qu’il doit favoriser les apprentissages et les
conditions de travail des personnels. Dans ces conditions, tout doit
être fait pour que l’alternance 7-2 semaines soit respectée, quitte à
revenir sur le cadre légal inscrit dans le Code l’Éducation.
Montreuil, le 2 avril 2015
Le communiqué au format
mardi 14 avril 2015
Journée nationale d’action interprofessionnelle du 9 avril 2015 : succès retentissant !
A l’appel des organisations syndicales CGT, FO, FSU, Solidaires,
plus de 300 000 salariés, actifs, jeunes et retraités, privés d’emploi,
se sont réunis dans les 86 rassemblements et manifestations en Province
et à la manifestation nationale à Paris. Plus de 120 000 manifestants
ont convergé vers la capitale, informés tout au long de la journée des
initiatives réussies, comme par exemple à Marseille 45 000, Bordeaux
10 000, Nancy et Nîmes 5 000, Digne 1 000.
Témoin de la réussite de cette journée, une vieille dame, la Tour Eiffel, a dû fermer ses portes pour la 1re fois depuis le mouvement social de 2010, signe de la prise en compte massive de cette journée de grève partout dans le pays !
Les manifestants ont exprimé avec enthousiasme et détermination leurs exigences revendicatives en matière de salaire et de pension, d’emploi, d’amélioration des conditions de travail et de la protection sociale, mais aussi pour un développement des services publics qui réponde aux besoins des populations. Ils ont donc clairement affiché aujourd’hui leur opposition aux politiques d’austérité conduites par le gouvernement et inspirées par le patronat, Medef en tête. Gouvernement et patronat doivent entendre le message et les exigences sociales exprimées aujourd’hui.
Dans les entreprises et territoires, les différents conflits qui se sont déroulés ces dernières semaines ont tous le même objectif : mettre les revendications des salariés sur la table des négociations sur les lieux de travail. C’est ce qui a permis la dynamique pour ce 9 avril et pour le 1er mai à venir.
Les différentes lois « Sécurisation de l’emploi » ou « Macron », les cadeaux faits au patronat à travers le pacte de responsabilité et le CICE constituent un ensemble de dispositions qui creusent les inégalités et fragilisent la situation des salariés, tandis qu’elles sécurisent les profits des actionnaires !
La mobilisation d’aujourd’hui doit désormais s’amplifier d’ici à la prochaine journée d’action du 1er Mai.
Déjà, la CGT a pris à son compte l’appel de la CES de faire du 1er mai 2015, une journée de mobilisation pour réagir aux politiques désastreuses qui menacent de transformer la crise financière en une stagnation de long terme et un chômage structurel élevé. L’objectif sera aussi d’avancer des réponses conjuguant investissements et développement de l’emploi.
Dans ce contexte, la CGT prend dès maintenant les dispositions nécessaires pour créer les conditions unitaires les plus favorables au rassemblement et à l’engagement des salariés actifs, retraités et privés d’emploi.
Continuons dès demain, à construire les revendications avec les salariés dans les entreprises et établissements et portons les ensemble aux employeurs.
Montreuil, le 9 avril 2015
Témoin de la réussite de cette journée, une vieille dame, la Tour Eiffel, a dû fermer ses portes pour la 1re fois depuis le mouvement social de 2010, signe de la prise en compte massive de cette journée de grève partout dans le pays !
Les manifestants ont exprimé avec enthousiasme et détermination leurs exigences revendicatives en matière de salaire et de pension, d’emploi, d’amélioration des conditions de travail et de la protection sociale, mais aussi pour un développement des services publics qui réponde aux besoins des populations. Ils ont donc clairement affiché aujourd’hui leur opposition aux politiques d’austérité conduites par le gouvernement et inspirées par le patronat, Medef en tête. Gouvernement et patronat doivent entendre le message et les exigences sociales exprimées aujourd’hui.
Dans les entreprises et territoires, les différents conflits qui se sont déroulés ces dernières semaines ont tous le même objectif : mettre les revendications des salariés sur la table des négociations sur les lieux de travail. C’est ce qui a permis la dynamique pour ce 9 avril et pour le 1er mai à venir.
Les différentes lois « Sécurisation de l’emploi » ou « Macron », les cadeaux faits au patronat à travers le pacte de responsabilité et le CICE constituent un ensemble de dispositions qui creusent les inégalités et fragilisent la situation des salariés, tandis qu’elles sécurisent les profits des actionnaires !
La mobilisation d’aujourd’hui doit désormais s’amplifier d’ici à la prochaine journée d’action du 1er Mai.
Déjà, la CGT a pris à son compte l’appel de la CES de faire du 1er mai 2015, une journée de mobilisation pour réagir aux politiques désastreuses qui menacent de transformer la crise financière en une stagnation de long terme et un chômage structurel élevé. L’objectif sera aussi d’avancer des réponses conjuguant investissements et développement de l’emploi.
Dans ce contexte, la CGT prend dès maintenant les dispositions nécessaires pour créer les conditions unitaires les plus favorables au rassemblement et à l’engagement des salariés actifs, retraités et privés d’emploi.
Continuons dès demain, à construire les revendications avec les salariés dans les entreprises et établissements et portons les ensemble aux employeurs.
Montreuil, le 9 avril 2015
Projet de réforme du collège : Pour la CGT-Éduc'action, c'est NON !
Le ministère a présenté son projet de réforme du collège, prévue pour la rentrée 2016 et ce pour tous les niveaux du collège.
Ce projet poursuit une vision de plus en plus inégalitaire de l’Ecole. Alors que le collège unique a toujours manqué des moyens nécessaires à la démocratisation pour que toutes et tous réussissent, le gouvernement opte pour une réforme sans moyens au service de l’idéologie libérale. Avec de nouveaux thèmes interdisciplinaires, tels que « monde économique et professionnel », accompagné d’un « parcours individuel d’information, d’orientation et de découverte du monde professionnel », la logique reste plus que jamais celle du socle et des compétences, au service du patronat...
Ce projet poursuit une vision de plus en plus inégalitaire de l’Ecole. Alors que le collège unique a toujours manqué des moyens nécessaires à la démocratisation pour que toutes et tous réussissent, le gouvernement opte pour une réforme sans moyens au service de l’idéologie libérale. Avec de nouveaux thèmes interdisciplinaires, tels que « monde économique et professionnel », accompagné d’un « parcours individuel d’information, d’orientation et de découverte du monde professionnel », la logique reste plus que jamais celle du socle et des compétences, au service du patronat...
Lire la suite dans le tract de la CGT-Éduc'action (avril 2015)
Lire le communiqué intersyndical
Inscriptions aux concours des personnels ITRF dans les EPLE (Concours réservés, externes, internes) - Session 2015 -
Inscription obligatoire sur Internet : du mardi 31 mars 2015 à partir de 12 h, au mardi 28 avril 2015 à 12 h (heure de Paris)
Lire le 4 pages Spécial de la CGT-Éduc'action "Inscriptions aux concours des personnels ITRF dans les EPLE (Concours réservés, externes, internes) - Session 2015 -"
Lien pour s'inscrire aux recrutements I.T.R.F.
- LISTE DES EMPLOIS OFFERTS AUX CONCOURS ITRF DE CATEGORIE B (SESSION 2015)
- LISTE DES EMPLOIS OFFERTS AUX CONCOURS ITRF DE CATEGORIE C (SESSION 2015)
Le silence gardé pendant deux mois par une administration de l'Etat ou un établissement public administratif de l'Etat sur une demande vaut décision d’acceptation, sauf pour les fonctionnaires et agents de l’état.
L'article 21
de la loi 2000-321 du 12 avril 2000, relative aux droits des citoyens
dans leurs relations avec les administrations a été modifié par l'article 1 de la loi n°2013-1005 du 12 novembre 2013 dans le sens où, maintenant, à compter du 14 novembre 2014,
suite à un recours écrit de la part d'un citoyen pour contester une
décision d'une administration, le silence gardé pendant deux mois par
l'autorité administrative sur une demande vaut décision d'acceptation,
sauf exceptions listées par décrets par les différents ministères.
Cependant, le silence gardé par l'administration pendant deux mois vaut toujours décision de rejet dans les relations entre les autorités administratives et leurs agents.
En conclusion, rien ne change pour les agents de l’État appelés à effectuer des recours gracieux ou hiérarchiques.
Voir décret n° 2014-1303
du 23 octobre 2014 relatif aux exceptions à l’application du principe «
silence vaut acceptation », pris en application du II de l’article 21
de la loi n° 2000-321 du 12 avril 2000 relative aux droits des citoyens
dans leurs relations avec les administrations.
Ce décret mentionne dans son article 1 :
« En application des dispositions du II de l'article 21 de la loi du 12 avril 2000 susvisée, le silence gardé pendant deux mois par une administration de l'Etat ou un établissement public administratif de l'Etat sur une demande vaut décision de rejet :
1° Lorsque la demande est adressée par une personne en qualité d'ayant droit ou ayant cause d'un agent ;
2° Lorsque la demande s'inscrit dans une procédure d'accès à un emploi relevant de l'Etat ou de l'un de ses établissements publics administratifs. »
Voir également circulaire FP du 12 mars 2015
relative à l’application des exceptions au principe « silence vaut
acceptation » dans les relations entre les agents et les autorités
administratives de l’État.
Modalités d'évaluation du stage et de titularisation des stagiaires
La période d'évaluation de votre stage
est ouverte. De cette évaluation va dépendre votre titularisation, ce
n'est donc pas un moment anodin de votre année. Ceci d'autant plus que
vous serez les premier-e-s à être évalué-e-s selon ces modalités.
Nous vous invitons fortement à consulter la note de service éditée par le ministère : elle précise tous les détails. Vous trouverez dans ce tract les éléments les plus importants.
Nous vous conseillons également de ne pas être seul-e-s et donc de contacter nos syndicats départementaux pour être conseillée-e-s et soutenu-e-s...
Nous vous invitons fortement à consulter la note de service éditée par le ministère : elle précise tous les détails. Vous trouverez dans ce tract les éléments les plus importants.
Nous vous conseillons également de ne pas être seul-e-s et donc de contacter nos syndicats départementaux pour être conseillée-e-s et soutenu-e-s...
Lire la suite du tract de la CGT-Éduc'action
dimanche 5 avril 2015
8 avril : CAPA PLP
Ordre du jour :
- Notation administrative
- Affectation sur postes adaptés - Rentrée 2015
- Congés de formation - Rentrée 2015
- Notation administrative
- Affectation sur postes adaptés - Rentrée 2015
- Congés de formation - Rentrée 2015
Appel UGFF-CGT : 9 avril 2015, ensemble, construisons une puissante journée de grève et de manifestation interprofessionnelle !
Les politiques d’austérité, le pacte dit
de « responsabilité » de Messieurs Hollande et Gattaz ne cessent de
nourrir et d’aggraver la crise. Le chômage ne cesse de progresser et
plus de cinq millions de personnes sont aujourd’hui privées d’emploi.
L’insuffisance des salaires, des retraites, des minimas sociaux ne
permet plus la satisfaction des droits et des besoins fondamentaux...
Avec le projet de loi Macron, le
Gouvernement, toujours sous l’aiguillon des organisations patronales et
plus particulièrement du Medef, tente d’imposer une insécurité sociale
généralisée.
Cette insécurité trouve aussi son
origine dans la poursuite, l’accentuation et la généralisation des
attaques portées contre toute l’action publique, celle de l’Etat et de
ses opérateurs, celle des collectivités territoriales, celle de la
Sécurité sociale et plus largement de la protection sociale.
Corrélée à la réforme territoriale et
des collectivités, la nouvelle séquence de la réforme de l’Etat a pour
objet d’organiser des abandons, des privatisations et des transferts de
politiques publiques.
Dans le même temps, des milliers
d’emplois publics sont supprimés. De plus, le travail et les
qualifications des personnels ne sont pas reconnus par le Gouvernement
qui persiste à maintenir depuis 2010, le gel de la valeur du point
d’indice et organise un recul drastique des promotions et des
déroulements de carrière.
Dans un tel contexte, l’UGFF-CGT
réaffirme qu’il est possible, nécessaire et juste, de mobiliser les
richesses produites pour créer des emplois, revaloriser le pouvoir
d’achat, financer toute l’action publique !
Pour y parvenir, il nous faut mettre en
échec les politiques aujourd’hui initiées par les pouvoirs publics et le
patronat, imposer une autre répartition des richesses, créer les
conditions d’un rapport de forces unitaire et le plus large possible,
pour imposer la prise en compte de nos propositions.
C’est pourquoi l’UGFF se félicite du processus de mobilisation interprofessionnelle initié par la CGT,
FO, Solidaires. Ensemble, le 9 avril 2015, salarié-e-s du public et du
privé, retraité-e-s, privé- e-s d’emploi, sont appelés à faire grève et à
manifester pour exiger du Gouvernement et du patronat de réelles
réponses à leurs revendications.
L’UGFF CGT
appelle les personnels de la Fonction publique à se réunir en assemblée
générale, à décider de la grève et à manifester le 9 avril 2015 pour
mettre fin à l’austérité ! Pour la défense et le développement des
services publics !
Toutes et Tous, fonctionnaires, non-titulaires, actifs et retraités
de la Fonction Publique !
Le 9 avril 2015, faisons grève et manifestons
pour imposer d’autres choix !
de la Fonction Publique !
Le 9 avril 2015, faisons grève et manifestons
pour imposer d’autres choix !
Lire les argumentaires de l'UGFF-CGT :
- EMPLOIS : MOBILISATION pour nos missions et nos conditions de travail, Il faut des créations d’emplois statutaires
- PÉNIBILITÉ : Il faut reconnaître l'usure due à la pénibilité dans la Fonction publique
- SANTÉ : ÇA SUFFIT ! Il faut améliorer les conditions de travail des agents de la Fonction publique
- POUVOIR D'ACHAT : AUGMENTER LES SALAIRES, C’EST JUSTE, POSITIF ET POSSIBLE
****
Lire la déclaration des organisations syndicales de la Fonction publique : Journée de grève interprofessionnelle du 9 avril 2015
****
Lire le tract d'appel le la CGT confédérale : Journée nationale d’action unitaire interprofessionnelle du 9 avril 2015
Le Petit Cahier N°33
Publication nationale 1° degré de la Cgt Educ'Action
N°33 Avril 2015
Sommaire :
N°33 Avril 2015
Sommaire :
Editorial | p1 |
Carte scolaire | p2 |
Santé | p2 |
Appel à la grève du 9 avril | p3 |
Nouveaux programmes | p4 |
Redoublement | p6 |
GIPA - Salaires | p6 |
Hors-classe | p7 |
Mobilité professionnelle | p8 |
Labels:
Premier Degré,
Publication CGT éduc'action
Bulletin d’information LGT N°11 (avril 2015)
Revendiquons un vrai changement pour notre école !
TOU-TE-S EN GREVE LE 9 AVRIL
TOU-TE-S EN GREVE LE 9 AVRIL
Note de service n° 2015-055 du 17-3-2015 relative aux modalités d'évaluation du stage et de titularisation des personnels enseignants et d'éducation de l'enseignement public
Formation des enseignants
Modalités d'évaluation du stage et de titularisation des personnels enseignants et d'éducation de l'enseignement public
NOR : MENH1506379N
note de service n° 2015-055 du 17-3-2015 (parue au BO n°13 du 26 mars 2015)
MENESR - DGRH B2-3
note de service n° 2015-055 du 17-3-2015 (parue au BO n°13 du 26 mars 2015)
MENESR - DGRH B2-3
Texte adressé aux
rectrices et recteurs d'académie ; aux vice-rectrices et vice-recteurs
de Mayotte, de la Nouvelle-Calédonie et de la Polynésie française ; aux
inspectrices et inspecteurs d'académie-directrices et directeurs
académiques des services de l'éducation nationale ; aux présidentes et
présidents de communautés d'universités et d'établissements, aux
présidentes et présidents d'université, aux directrices et directeurs
d'écoles supérieures du professorat et de l'éducation
Orientations générales
La loi de programmation et d'orientation pour la refondation de
l'école a créé les écoles supérieures du professorat et de l'éducation
(ESPE), avec la volonté de mettre en place une formation des personnels
enseignants et d'éducation par alternance conjuguant une formation
universitaire, qui s'inscrit dans une démarche de recherche, avec une
mise en situation professionnelle. Dans ce cadre, les ESPE sont
habilitées à délivrer un master dans les domaines des métiers de
l'enseignement, de l'éducation et de la formation (Meef).
L'objet de la présente note de service est de préciser, à compter de l'année 2014-2015, les modalités d'évaluation et de titularisation des stagiaires recrutés par concours. Le tableau récapitulatif joint (Fiche 2) précise, pour chaque type de stagiaires et de sessions de concours antérieure ou postérieure à 2014, les nouveaux textes et modalités applicables.
Ne sont pas concernés par ces nouvelles dispositions les stagiaires lauréats de la session exceptionnelle du concours 2014, les lauréats des sessions de concours antérieures à 2014 en prolongation de stage, qui demeurent régis par les dispositions fixées par les arrêtés du 12 mai 2010 et les personnels recrutés par voie de liste d'aptitude.
Les nouvelles règles d'évaluation du stage et de titularisation des stagiaires sont les suivantes :
- L'évaluation du stage se fonde désormais sur le référentiel de compétences rénové prévu par l'arrêté du 1er juillet 2013. Ce référentiel détermine les compétences à acquérir par le professeur ou le conseiller principal d'éducation tout au long de sa carrière et, à un niveau suffisant au titre de l'année de stage.
- Le directeur de l'ESPE devient un acteur du processus d'évaluation au côté des membres des corps d'inspection et du chef d'établissement pour les stagiaires relevant de l'enseignement du second degré. Il émet un avis au titre de la formation suivie par les stagiaires, qu'ils effectuent leur deuxième année de master Meef ou qu'ils bénéficient d'un parcours de formation adapté en ESPE. Dans les deux cas, cet avis s'appuie sur la validation du parcours de formation du stagiaire quelles qu'en soient les modalités. Cette validation prend en compte d'une part l'engagement dans la formation et d'autre part les compétences acquises par les stagiaires durant cette formation. Cet avis peut donc s'appuyer sur l'appréciation du tuteur désigné par l'ESPE.
- L'avis de l'inspecteur, du chef d'établissement (pour les enseignants du second degré) ou de l'autorité administrative compétente s'appuie sur des grilles d'évaluation rénovées ayant pour objectif de vérifier si le niveau de maîtrise des compétences attendues est, à l'issue du stage, suffisant pour envisager une titularisation du stagiaire. Ces grilles prévues par les arrêtés du 22 août 2014 répondent aux exigences posées par la fonction publique de formaliser l'évaluation individuelle. Les modèles prévus par les fiches 11, 12 et 13 servent de cadre de référence pour l'évaluation des stagiaires devant être évalués en juin 2015 et s'imposent aux différents évaluateurs concernés à compter de la rentrée 2015.
- La composition des jurys académiques évolue. Elle est élargie de façon à permettre des regards croisés sur le niveau de compétence du stagiaire en intégrant, notamment, les acteurs de la formation : ceux de l'enseignement scolaire et ceux de l'enseignement supérieur.
- S'agissant d'un stage en alternance, l'appréciation par le jury de l'aptitude à la titularisation du stagiaire doit prendre en compte de façon équilibrée l'ensemble des avis, avis des corps d'inspection, avis du chef d'établissement pour les enseignants du second degré, d'une part, et avis du directeur de l'ESPE, d'autre part. Une coordination des différents évaluateurs est en particulier nécessaire lorsqu'il apparaît que le stagiaire est susceptible de ne pas obtenir son master à l'issue de son stage. Dans cette hypothèse, le stagiaire a vocation à être placé en renouvellement de stage.
- Pour les stagiaires, inscrits en master Meef et devant valider leur diplôme, le calendrier de validation des masters doit être compatible avec le calendrier d'évaluation du stage par le jury académique et en tout état de cause avec le calendrier d'affectation des néo-titulaires.
- Les stagiaires peuvent effectuer tout ou partie du stage dans un organisme ou un établissement d'éducation, d'enseignement ou de formation ou dans une administration compétente dans ces domaines, d'un autre État membre de l'Union européenne ou d'un autre État partie à l'accord sur l'Espace économique européen sous réserve de leur accord et selon des modalités définies par convention conclue entre le recteur d'affectation du stagiaire, l'autorité compétente de l'État d'accueil et les établissements d'enseignement supérieur concernés. Les modalités d'évaluation du stage accompli à l'étranger feront l'objet d'instructions ultérieures.
Un ensemble de fiches, ci-après, précise notamment les règles relatives à la durée règlementaire du stage, les cas dans lesquels les instances paritaires doivent être consultées, les modalités de constitution et d'organisation des jurys académiques, les modalités d'évaluation et de titularisation des stagiaires en fonction des corps ou des conditions particulières de déroulement des stages, les grilles d'évaluation ainsi qu'un outil d'accompagnement à l'entrée dans le métier.
Cet outil d'accompagnement prend appui sur le référentiel de compétences professionnelles des métiers du professorat et de l'éducation. Il permet d'établir un cadre commun de référence entre tous les formateurs et d'objectiver le degré d'acquisition attendu dans le cadre de la titularisation des personnels enseignants et d'éducation, quel que soit leur parcours antérieur. Il a vocation à être transmis aux stagiaires, comme outil d'auto-observation et d'analyse de leur pratique professionnelle au regard du référentiel de compétences professionnelles des métiers du professorat et de l'éducation. Ainsi, il prolonge la dynamique de formation initiale au-delà de leur titularisation et les accompagne lors de leurs premières années d'exercice.
Fiche n° 2 - Tableau synthétique relatif aux modalités d'évaluation et de titularisation des stagiaires
Fiche n° 3 - Dispositions communes relatives à la durée réglementaire du stage des personnels enseignants et d'éducation
Fiche n° 4 - Consultation des instances paritaires
Fiche n° 5 - Jury académique d'évaluation du stage
Fiche n° 6 - Modalités d'évaluation et de titularisation des professeurs des écoles stagiaires
Fiche n° 7 - Modalités d'évaluation et de titularisation des professeurs certifiés, professeurs d'éducation physique et sportive, des professeurs de lycée professionnel et des conseillers principaux d'éducation stagiaires
Fiche n° 8 - Modalités d'évaluation et de titularisation des professeurs agrégés stagiaires
Fiche n° 9 - Modalités d'évaluation des professeurs stagiaires, en congé sans traitement pour exercer les fonctions d'Ater ou de doctorant contractuel
Fiche n° 10 - Modalités d'évaluation des professeurs réputés qualifiés en application des décrets n° 98-304 du 17 avril 1998 et n° 2000-129 du 16 février 2000
Fiche n° 11 - Grille d'évaluation du professeur stagiaire
Fiche n° 12 - Grille d'évaluation du professeur documentaliste stagiaire
Fiche n° 13 - Grille d'évaluation du conseiller principal d'éducation stagiaire
Fiche n° 14 - Outil d'accompagnement : descripteurs des degrés d'acquisition des compétences à l'entrée dans le métier
Fiche n° 15 - Modèle de page de garde du dossier d'évaluation du stagiaire
L'objet de la présente note de service est de préciser, à compter de l'année 2014-2015, les modalités d'évaluation et de titularisation des stagiaires recrutés par concours. Le tableau récapitulatif joint (Fiche 2) précise, pour chaque type de stagiaires et de sessions de concours antérieure ou postérieure à 2014, les nouveaux textes et modalités applicables.
Ne sont pas concernés par ces nouvelles dispositions les stagiaires lauréats de la session exceptionnelle du concours 2014, les lauréats des sessions de concours antérieures à 2014 en prolongation de stage, qui demeurent régis par les dispositions fixées par les arrêtés du 12 mai 2010 et les personnels recrutés par voie de liste d'aptitude.
Les nouvelles règles d'évaluation du stage et de titularisation des stagiaires sont les suivantes :
- L'évaluation du stage se fonde désormais sur le référentiel de compétences rénové prévu par l'arrêté du 1er juillet 2013. Ce référentiel détermine les compétences à acquérir par le professeur ou le conseiller principal d'éducation tout au long de sa carrière et, à un niveau suffisant au titre de l'année de stage.
- Le directeur de l'ESPE devient un acteur du processus d'évaluation au côté des membres des corps d'inspection et du chef d'établissement pour les stagiaires relevant de l'enseignement du second degré. Il émet un avis au titre de la formation suivie par les stagiaires, qu'ils effectuent leur deuxième année de master Meef ou qu'ils bénéficient d'un parcours de formation adapté en ESPE. Dans les deux cas, cet avis s'appuie sur la validation du parcours de formation du stagiaire quelles qu'en soient les modalités. Cette validation prend en compte d'une part l'engagement dans la formation et d'autre part les compétences acquises par les stagiaires durant cette formation. Cet avis peut donc s'appuyer sur l'appréciation du tuteur désigné par l'ESPE.
- L'avis de l'inspecteur, du chef d'établissement (pour les enseignants du second degré) ou de l'autorité administrative compétente s'appuie sur des grilles d'évaluation rénovées ayant pour objectif de vérifier si le niveau de maîtrise des compétences attendues est, à l'issue du stage, suffisant pour envisager une titularisation du stagiaire. Ces grilles prévues par les arrêtés du 22 août 2014 répondent aux exigences posées par la fonction publique de formaliser l'évaluation individuelle. Les modèles prévus par les fiches 11, 12 et 13 servent de cadre de référence pour l'évaluation des stagiaires devant être évalués en juin 2015 et s'imposent aux différents évaluateurs concernés à compter de la rentrée 2015.
- La composition des jurys académiques évolue. Elle est élargie de façon à permettre des regards croisés sur le niveau de compétence du stagiaire en intégrant, notamment, les acteurs de la formation : ceux de l'enseignement scolaire et ceux de l'enseignement supérieur.
- S'agissant d'un stage en alternance, l'appréciation par le jury de l'aptitude à la titularisation du stagiaire doit prendre en compte de façon équilibrée l'ensemble des avis, avis des corps d'inspection, avis du chef d'établissement pour les enseignants du second degré, d'une part, et avis du directeur de l'ESPE, d'autre part. Une coordination des différents évaluateurs est en particulier nécessaire lorsqu'il apparaît que le stagiaire est susceptible de ne pas obtenir son master à l'issue de son stage. Dans cette hypothèse, le stagiaire a vocation à être placé en renouvellement de stage.
- Pour les stagiaires, inscrits en master Meef et devant valider leur diplôme, le calendrier de validation des masters doit être compatible avec le calendrier d'évaluation du stage par le jury académique et en tout état de cause avec le calendrier d'affectation des néo-titulaires.
- Les stagiaires peuvent effectuer tout ou partie du stage dans un organisme ou un établissement d'éducation, d'enseignement ou de formation ou dans une administration compétente dans ces domaines, d'un autre État membre de l'Union européenne ou d'un autre État partie à l'accord sur l'Espace économique européen sous réserve de leur accord et selon des modalités définies par convention conclue entre le recteur d'affectation du stagiaire, l'autorité compétente de l'État d'accueil et les établissements d'enseignement supérieur concernés. Les modalités d'évaluation du stage accompli à l'étranger feront l'objet d'instructions ultérieures.
Un ensemble de fiches, ci-après, précise notamment les règles relatives à la durée règlementaire du stage, les cas dans lesquels les instances paritaires doivent être consultées, les modalités de constitution et d'organisation des jurys académiques, les modalités d'évaluation et de titularisation des stagiaires en fonction des corps ou des conditions particulières de déroulement des stages, les grilles d'évaluation ainsi qu'un outil d'accompagnement à l'entrée dans le métier.
Cet outil d'accompagnement prend appui sur le référentiel de compétences professionnelles des métiers du professorat et de l'éducation. Il permet d'établir un cadre commun de référence entre tous les formateurs et d'objectiver le degré d'acquisition attendu dans le cadre de la titularisation des personnels enseignants et d'éducation, quel que soit leur parcours antérieur. Il a vocation à être transmis aux stagiaires, comme outil d'auto-observation et d'analyse de leur pratique professionnelle au regard du référentiel de compétences professionnelles des métiers du professorat et de l'éducation. Ainsi, il prolonge la dynamique de formation initiale au-delà de leur titularisation et les accompagne lors de leurs premières années d'exercice.
Pour la ministre de l'éducation nationale, de l'enseignement supérieur et de la recherche
et par délégation,
La directrice générale des ressources humaines,
Catherine Gaudy
et par délégation,
La directrice générale des ressources humaines,
Catherine Gaudy
Sommaire
Fiche
n° 1 - Rappel des textes applicables à l'évaluation du stage et à la
titularisation des personnels enseignants des premier et second degrés
et des personnels d'éducation stagiairesFiche n° 2 - Tableau synthétique relatif aux modalités d'évaluation et de titularisation des stagiaires
Fiche n° 3 - Dispositions communes relatives à la durée réglementaire du stage des personnels enseignants et d'éducation
Fiche n° 4 - Consultation des instances paritaires
Fiche n° 5 - Jury académique d'évaluation du stage
Fiche n° 6 - Modalités d'évaluation et de titularisation des professeurs des écoles stagiaires
Fiche n° 7 - Modalités d'évaluation et de titularisation des professeurs certifiés, professeurs d'éducation physique et sportive, des professeurs de lycée professionnel et des conseillers principaux d'éducation stagiaires
Fiche n° 8 - Modalités d'évaluation et de titularisation des professeurs agrégés stagiaires
Fiche n° 9 - Modalités d'évaluation des professeurs stagiaires, en congé sans traitement pour exercer les fonctions d'Ater ou de doctorant contractuel
Fiche n° 10 - Modalités d'évaluation des professeurs réputés qualifiés en application des décrets n° 98-304 du 17 avril 1998 et n° 2000-129 du 16 février 2000
Fiche n° 11 - Grille d'évaluation du professeur stagiaire
Fiche n° 12 - Grille d'évaluation du professeur documentaliste stagiaire
Fiche n° 13 - Grille d'évaluation du conseiller principal d'éducation stagiaire
Fiche n° 14 - Outil d'accompagnement : descripteurs des degrés d'acquisition des compétences à l'entrée dans le métier
Fiche n° 15 - Modèle de page de garde du dossier d'évaluation du stagiaire
Guide syndical ATSS
(MAJ avril 2015)
Sommaire :
p. 3 Édito - Patrick Désiré, Secrétaire généralp. 4/5 Toutes et tous ensemble
p. 6 Traitement
p. 7 Action sociale
p. 8/9 Retraites
p. 10/11 Santé au travail / Prévention des risques
p. 12/13 Obligations de service
p. 14/15 Statut
p. 16/17 Entretien d'évaluation / PFR
p. 18 Précarité / Non-titulaires
p. 19 Formation
p. 20 - Personnels de GRETA - Enseignement privé
p. 21/50 Personnels Administratifs
- ADJAENES, Cat. C ...........p. 21/26
- SAENES, Cat. B ..............p. 27/36
- AAE, Cat. A ...................p. 37/48
- Les emplois fonctionnels ...p. 49/50
p. 51/58 Personnels d'encadrement administratif
- CASU ............................p. 51/54
- AC ................................p. 55/58
p. 59/60 Adjoint-e-s techniques des établissements
- ATEE et ATEC .................p. 59/60
p. 61/70 Personnels de Laboratoire
- ATRF .............................p. 61/65
- Nos revendications ...........p. 66
- TRF ...............................p. 67/70
p. 71/80 Personnels de Service social
- ASS, Cat. B .....................p. 71/74
- CTSS, Cat. A ...................p. 75/78
- ASC ...............................p. 79
- Nos revendications ...........p. 80
p. 81/86 Personnels de Santé : Infirmier-ère-s
- Cat. A ............................p. 81/85
- Nos revendications ............p. 86
p. 87 À chaque filière... son contact CGT
Coordonnées académiques de la CGT Éduc'action
Le guide ATSS en (MAJ avril 2015)
Guide juridique et syndical : Les CAE-CUI dans l'Éducation nationale
Sommaire :
1ère PARTIE (Outils et jurisprudence)
|
|
FICHE DE SYNTHESE DU CAE-CUI |
P.3 |
MODALITÉS DE RECRUTEMENT PAR L’EPLE |
P.4 |
CARACTÉRISTIQUES DU CAE-CUI |
P. 4 et 5 |
RÉPARTITION DU TEMPS DE TRAVAIL |
P. 5 et 6 |
LE RECRUTEMENT D’UN PERSONNEL SOUS CONTRAT CAE-CUI |
P. 6 et 7 |
LA PÉRIODE D’ESSAI |
P. 7 et 8 |
LA FORMATION : UNE OBLIGATION POUR L’EMPLOYEUR, CONDITION SUBSTANTIELLE DU CONTRAT |
P. 8 et 9 |
LA SUSPENSION DU CONTRAT |
P. 9 |
LA DISCIPLINE |
P. 9 et 10 |
LA FIN DU CONTRAT |
P. 10 |
LES MODES DE RUPTURE ANTICIPÉE DU CDD |
P. 10 et 11 |
LA PROCÉDURE DE LICENCIEMENT |
P. 11 et 12 |
LE CONTENTIEUX |
P. 12 |
2ème PARTIE (Question-Réponses)
|
|
Le Contrat Unique d’Insertion (CUI) – Textes de référence – Synthèse – A savoir |
P. 13 |
Quels sont les bénéficiaires et les employeurs concernés ? |
P. 13 |
Quelle est la durée de l’aide à l’insertion professionnelle attribuée au titre du CUI-CAE ? |
P. 13 et 14 |
Quelles sont les actions d’accompagnement et de formation prévues ? |
P. 14 |
Quelles sont les caractéristiques du CUI-CAE ? |
P. 14 et 15 |
Quel est le statut du salarié ? |
P. 15 |
En quoi consistent les « périodes d’immersion » auprès d’un autre employeur ? |
P. 15 |
Quelles sont les dispositions applicables en cas de suspension ou de rupture du contrat ? |
P. 15 et 16 |
Questions pratiques : (Questions/Réponses répertoriées dans l’annexe 1 de la circulaire DGEFP N°2009-42 du 5 novembre 2009) |
P. 16 et 1 |
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