lundi 21 octobre 2024

Collège, une n-ième cure d’austérité

À l’opposé du vote des français·es qui réclamaient plus de moyens pour leurs Services publics, le gouvernement Barnier fixe un cap résolument austéritaire qui va encore dégrader l’École. Avec un budget non sanctuarisé, la suppression de 4000 postes est une nouvelle provocation après la nomination d’une ministre hors circuit.

Les collèges ont pourtant besoin de plus de personnels pour faire face à des conditions de travail dégradées et à un train de réformes qui désorganise le travail tout en renforçant le tri scolaire-social.

La CGT Éduc’action dénonce ces orientations politiques et budgétaires, à l’opposé de ce qui est absolument nécessaire aujourd’hui : investir pour l’Éducation, créer des postes pour réduire les effectifs par classe et faciliter le travail des équipes, augmenter les salaires et relancer l’attractivité des métiers…

À nous, collectivement, de nous opposer à cette nouvelle attaque et de faire monter la pression pour gagner sur nos revendications !


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2000 AESH en plus, un arbre qui cache la forêt

 

La rentrée  s’est faite sous haute tension pour les AESH : multiplication des accompagnements pour faire face aux manques, pressions pour travailler sur le temps méridien sans gain de salaire. Dans ce contexte, l’annonce des 2000 AESH en plus va-t-elle changer la donne ?

2000 AESH en plus : un effet d’annonce

Le manque d’AESH empire à chaque rentrée et s’illustre particulière cette année. Les 2000 postes d’AESH, tellement nécessaires au vu de la situation, pourraient ne pas être tous pourvus tant le métier souffre d’un manque d’attractivité. L’enveloppe supplémentaire évoque 2000 postes alors que le ministre annonce 2000 emplois équivalents temps plein, ce qui n’est pas tout à fait la même chose car la plupart des AESH sont à 60%.

Les difficultés des AESH sont immenses, tant sur le plan économique que social. Les AESH constituent et de loin la grande majorité des demandes de secours sociaux. Ils et elles sont des travailleur·euses pauvres. De plus, la santé, tant psychique que physique de ces personnels est fortement impactée. Le nombre de licenciements pour inaptitude en témoigne.

Une politique d’inclusion des élèves en situation de handicap nécessite des moyens, les AESH ne peuvent en faire les frais et servir de vitrine au prix de leurs conditions de travail.

2 jours de congés supplémentaires par an : un droit pour les AESH, une obligation pour les rectorats

Le ministère n’a pas tenu ses engagements, il devait être rappelé les obligations en la matière à tous les rectorats, ce qui n’est toujours pas fait à ce jour.

Travailler plus pour gagner plus ?

Concernant le transfert à l’État de la rémunération des AESH intervenant auprès des élèves pendant la pause méridienne (loi du 27 mai 2024), le ministère a communiqué à qui voulait bien l’entendre que cela permettrait à des centaines d’AESH de pouvoir gagner plus en ouvrant la possibilité, sur la base du volontariat, de travailler 8H supplémentaires. Dans les faits, les AESH subissent des pressions pour assumer ce temps,  quitte à le déduire du temps d’accompagnement élève, alors qu’il avait été clairement présenté que cela devait se faire sous forme d’avenant en plus des heures au contrat initial. Ce bricolage de l’administration pour faire bonne figure auprès du public sur ses engagements est tout à fait inadmissible.

La CGT Éduc’action revendique 24H temps complet d’accompagnement élève. La solution du temps méridien n’est pas la bonne réponse, cependant nous exigeons que les engagements du ministère soient respectés. 

 

 

Quand l’État développe le financement public de l’enseignement privé hors contrat…

 

Communiqué de presse FSU, UNSA, FO, CGT Educ’Action, SNALC, SUD, FCPE, JPA

La loi « avenir pro » de 2018 a permis la promotion des écoles de production. Le gouvernement veut les développer en renforçant le financement public de ces établissements privés hors contrat et ainsi atteindre la centaine d’ici 2028.

Lors du Conseil supérieur de l’Éducation le 10 octobre, l’examen de leur reconnaissance par l’État était à nouveau à l’ordre du jour. Les représentant·es des organisations syndicales et des associations de parents d’élèves, ont une fois de plus dénoncé le développement important de ces écoles privées et le financement public dont elles bénéficient. Alors que dans le même temps, l’enseignement professionnel public voit diminuer ses moyens, que toute l’Éducation est soumise à une cure d’austérité, et que plus de 13 000 élèves dont 9 000 en lycée professionnel, sont resté·es dans l’attente d’une affectation en lycée à la rentrée faute de capacités d’accueil suffisantes dans le réseau public, ce financement du privé hors contrat est scandaleuse.

Les écoles de production ne connaissent pas la crise !

Ces écoles bénéficient massivement de l’argent public, par l’usage gratuit d’équipements municipaux et surtout sous la forme de subventions. L’argent public semble couler à flot dans une totale opacité ! Les collectivités territoriales (régions, métropoles, communautés de communes, municipalités…), l’État, via les directions régionales de l’économie, de l’emploi et des solidarités (DREETS), et tous les dispositifs de financement comme « France relance » ou le Fonds national d’aménagement et de développement du territoire, sont mis à contribution. Alors qu’un·e élève en lycée professionnel public coûte en moyenne 13 760€, certaines écoles de production affichent 29 700€ par personne, soit plus du double, financés à 85% avec des fonds publics.

Les coûts de formation, astronomiques, peuvent se chiffrer à plusieurs dizaines de milliers d’euros par an et par élève, un montant nettement supérieur à ceux de la scolarisation d’un·e élève en LP, ce qui n’empêche pas un taux de décrochage très important.

Au-delà d’un modèle économique fondé sur la captation de fonds publics et la défiscalisation de fonds privés via le mécénat, il s’agit aussi de confier la formation de jeunes à des entreprises locales, sans autre ambition que de répondre à une demande locale. Il s’agit de promouvoir un modèle de formation éculé, la formation « sur le tas » d’une main d’œuvre qui travaille gratuitement pour des entreprises et sans la protection juridique que confèrent les statuts de stagiaires ou d’apprenti·es. Quid des enjeux de sécurité au travail, de lutte contre le harcèlement et contre les violences sexistes et sexuelles ? Quid de la qualité des contenus enseignés et de leur exhaustivité ? Tout cela apparaît visiblement comme secondaire à des ministres et des élu·es, qui promeuvent, chaque fois qu’ils et elles le peuvent, ces écoles avec force d’inaugurations en grande pompe et d’interviews dans la presse régionale.

our les organisations et associations FSU , UNSA, FO, CGT Educ’Action, SNALC, SUD, FCPE, JPA, il est urgent de mettre fin à ce système qui gaspille l’argent public et organise l’exploitation de jeunes, très souvent mineur·es, pour une formation sans aucune garantie de qualité et de réussite aux examens. Tout cela relève de la gabegie et de l’escroquerie ! Pour obtenir une première qualification professionnelle par un diplôme, gage d’une formation professionnelle et générale globale et émancipatrice, le financement alloué à ces écoles de productions doit cesser et revenir à l’École publique.

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Concours internes 2025 AAE – Examens professionnels 2025 AAE SAENES

 

Les inscriptions sont ouvertes du 1 octobre au 7 nov 2024

pour les concours internes AEE,concours unique médecin de l’éducation nationale, concours interne CTSS

Et les examens professionnels pour  AAE principal ,SAENES classe exceptionelle , SAENES classe supérieur

Via la plateforme cyclades

lundi 14 octobre 2024

Budget 2025 : les salarié·es et les retraité·es ne veulent plus payer ! (communiqué confédéral)

Le gouvernement de Michel Barnier a présenté ce jeudi son projet de loi de finances et son projet de loi de financement de la sécurité sociale (PLFSS) pour l’année 2025. Comme annoncé, le gouvernement prévoit un effort de 60 milliards dont la plupart va se faire sur le dos des salarié.es et des retraité.es.

Dans la continuité du macronisme, ce sont les salarié·es et les retraité·es à qui l’on demande à nouveau de payer l'addition du déficit creusé depuis 7 ans au seul bénéfice des grandes entreprises, de leurs actionnaires et dirigeant•es. 

Malgré l’affichage de la hausse des impôts pour les plus riches et pour les entreprises, la CGT dénonce des mesures cosmétiques qui servent d’écran de fumée pour cacher de nouvelles décisions austéritaires pour la vie des travailleurs et travailleuses.

PLF - des coupes dans nos services publics 

Le gouvernement a dévoilé les différentes mesures régressives prévues pour atteindre 40 Mds d’économie. 

Alors que nos services publics sont à bout de souffle, le gouvernement décide à nouveau de les amputer en prévoyant notamment : 

  • 5 milliards d’euros d’économies dans les collectivités territoriales, 
Un solde de 2200 suppressions de postes dans la fonction publique qui masque un total de 4000 suppressions dans l’éducation nationale, alors qu’il en manque déjà, comme à l’hôpital, des milliers. 
Le gel du point d'indice des fonctionnaires en 2024 et en 2025, alors que leurs salaires ont baissé de plus de 18% depuis 2010, et qu'1% d'augmentation du point d'indice (2 milliards) ne représente que 2% des aides publiques aux entreprises. 

C’est une ligne rouge pour la CGT, qui alerte sur l’état déjà catastrophique de nos services publics. 

De plus, la CGT ne pourra accepter que le reciblage des aides apportées dans le cadre de l’apprentissage se fasse au détriment de la rémunération des apprentis qui devront désormais payer la CSG et la CRDS. C’est bien dans les plus de 20 milliards d’aides à l’apprentissage dont l’inefficacité a été pointée par de nombreux rapports qu’il faut tailler, pas dans la rémunération des apprentis ! 

Des économies, il est possible d’en faire, il suffit de regarder du côté des aides publiques aux entreprises : chaque année ce sont 175 milliards d’aides publiques versées aux entreprises, un montant multiplié par 1,5 en 15 ans, sans ciblage, sans condition ni contrepartie, sans évaluation ni contrôle de leur efficacité, en termes d'emploi notamment. C’est un tiers du budget de l’État.

PLFSS - des économies sur le dos de notre santé

Sur le PLFSS, la CGT dénonce des mesures dont les salarié.es et les retraité.es vont être les premières victimes. Alors même que l’on dénombre en moyenne 5000 fermetures de lits d'hôpitaux par an depuis le COVID, et que l’accès au soin et à la santé est de plus en plus difficile et coûteux, le gouvernement s’attaque de plein fouet aux dépenses de sécurité sociale en :

Baissant le taux de prise en charge des consultations médicales par l’Assurance Maladie de 70 à 60% alors que leur montant va augmenter 
  • Baissant le montant des indemnités journalières de sécurité sociale

La sécurité sociale est un droit essentiel pour l’ensemble des travailleurs et travailleuses, y toucher c’est toucher aux droits à la santé et aux soins pour toutes et tous. 

De la même manière, la CGT réaffirme sa ferme opposition au gel des pensions des retraité.es pendant 6 mois. Cette coupure représente 200 à 300 euros de baisse par an dans leur portefeuille. Après une réforme qui a imposé 2 ans de plus, ils et elles ne peuvent pas encore être l’objet d’un tour de vis austéritaire. 

Enfin, la CGT s’alarme sur l’absence de mesures concernant la prise en charge de nos ainé·es et de la petite enfance. Après les nombreux scandales ayant révélé un système de soin défaillant des groupes privés lucratifs, il est nécessaire d’investir pour la création d’un service public de la petite enfance et des personnes âgées.

Propositions de la CGT - Un autre budget et une vraie sécurité sociale sont possibles

Pour la CGT il faut un investissement massif dans nos services publics et nos infrastructures pour préparer l’avenir. 

Le budget est un outil qui doit être mis au service d’un plan stratégique de réindustrialisation du pays. 

Pour le financer, la CGT propose une réforme fiscale qui permettrait plus de justice fiscale avec notamment le rétablissement des impôts pour les entreprises (impôt sur les sociétés et CVAE), une taxation dissuasive des dividendes et des rachats d’actions, le rétablissement de l'impôt sur la fortune, une meilleure progressivité de l’Impôt sur le Revenu, la suppression de la TVA sur les produits de 1ère nécessité, la lutte contre la fraude et l’évasion fiscale (90 milliards annuels), la conditionnalité des 175 milliards d’aides publiques annuelles aux entreprises et l'élargissement de la taxe sur les activités polluantes pour inciter à la transition écologique. 

Concernant la sécurité sociale, pour cesser le déshabillage, il est urgent de repartir des fondamentaux : la CGT revendique une sécurité sociale qui réponde intégralement aux besoins et dont les recettes soient assurées par des cotisations. Plutôt que d’empêcher de se soigner ou pénaliser les retraités et pour éviter un déficit artificiellement construit, il est possible de revoir les 80 milliards d’exonérations de cotisations, augmentés de 20 milliards depuis l’arrivée d’Emmanuel Macron. 

La CGT rappelle son opposition à la réforme des retraites et à toute mesure remettant en cause les droits des salarié.es, leur protection sociale et leur niveau de vie. Elle appelle les salarié.es à s’organiser en se syndiquant dans les entreprises et les services pour gagner des augmentations de salaire. 

Montreuil, le 11 octobre 2024

dimanche 13 octobre 2024

L’École sacrifiée sur l’autel de l’austérité

COMMUNIQUE DE PRESSE

La cure d’austérité prévue par M.Barnier est en réalité plus sévère que celle claironnée depuis plusieurs jours et annonce des jours noirs pour une majorité de la population (notamment les plus précaires), les Services publics et l’École.

M.Barnier nous ressort les traditionnelles et brutales recettes libérales déjà largement utilisées sous Sarkozy: coups de serpe dans les budgets des Services publics, suppression de postes… Comme si personne n’avait tiré les enseignements de l’épisode Covid où ces Services publics ont montré leur importance tout autant que leur fragilité, résultat de cette politique libérale. Comme si, face à une telle situation économique, ressortir inlassablement ces orientations budgétaires étaient une solution alors qu’elles en sont la cause… Agir ainsi et limiter les rentrées fiscales (suppression ISF, exonération cotisations patronales…), c’est clairement assumer une politique qui favorise les plus riches et organise la casse du modèle social français.

Alors que N.Belloubet promettait un budget sanctuarisé, ces 4000 suppressions de postes (principalement dans le premier degré) sonnent comme un véritable mépris à l’égard de l’Éducation nationale qui fait face à tant de maux. Agir de la sorte, c’est refuser de regarder la situation catastrophique dans laquelle est plongée l’École. C’est refuser d’écouter le bilan alarmant porté par la totalité des organisations syndicales sur les conditions de rentrée devant les député·es, les manques de personnels dans les salles de classe et les services… C’est méprisant à l’égard de ces mêmes personnels qui affrontent déjà des conditions de travail désastreuses, subissent un décrochage salarial historique et une perte de sens de leur métier. Sans augmentation de salaires, ce budget confirme que l’amélioration de l’attractivité du métier n’est qu’un slogan.

C’est également méprisant vis-à-vis des élèves et des familles qui sont confronté·es au quotidien au manque de personnels et aux heures de cours perdues. Et que dire de l’annonce de la création de 2000 postes d’AESH alors que le ministère sait très bien que c’est en dessous des besoins et qu’il ne trouvera pas ces volontaires pour faire un métier aussi difficile et aussi mal payé !

La CGT Éduc’action dénonce ces orientations politiques et budgétaires, à l’opposé de ce qui est absolument nécessaire aujourd’hui : investir pour l’Éducation, créer des postes pour réduire les effectifs par classe (et profiter ainsi de la baisse démographique) et faciliter le travail dans les services, augmenter les salaires et relancer l’attractivité des métiers… À nous, collectivement, de nous opposer à cette casse programmée des Services publics et de maintenir la pression pour gagner sur nos revendications.

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CARTES DES FORMATIONS

MISE EN ADÉQUATION DES FORMATIONS ET DES BESOINS EN EMPLOIS LOCAUX

Après l’attaque sur le bac pro, l’autre lame de fond de la réforme réside dans la modification en profondeur du cadre d’élaboration de la carte des formations qui se prépare pour la rentrée 2025. Sans surprise, il faut mettre en adéquation les formations et les besoins en emplois locaux. Le LP est considéré comme l’un des instruments pour atteindre, sous l’égide de France Travail, l’objectif de 5% de taux de chômage dans le cadre de la loi dite « plein emploi 2027 ». Le développement de formations « low cost » a pour finalité d’attaquer la qualification pour individualiser le salaire et rémunérer à faible « coût» en fonction de la compétence attachée au poste de travail.

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Enseignement pro : Mobilisation toujours actuelle contre la réforme


La nomination d’Anne Genetet comme ministre de l’Éducation nationale signifie qu’il n’y aura aucun changement de cap. Celle d’Alexandre Portier comme ministre délégué à la réussite scolaire et à l’enseignement professionnel, si elle met fin à la double tutelle avec le ministère du Travail, n’augure rien de bon puisque celui-ci est un ardent défenseur de l’école privée et de l’apprentissage !
La dérégulation de l’année de Terminale prend effet à cette rentrée alors que beaucoup d’élèves et de familles n’en sont pas encore informé∙es! L’impréparation est totale. Cette réforme vise toujours à mettre en adéquation formation et emploi en voulant atteindre les objectifs de la loi « plein emploi » 2027.
Dès à présent, dans nos établissements, organisons des heures d’information syndicales ou des AG pour construire la mobilisation nécessaire pour stopper cette réforme.

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Déclaration commune des organisations syndicales FSU, UNSA, CFDT, CGT, SNALC & SUD au CSA ministériel du mercredi 9 octobre 2024

Opale : un calendrier de déploiement desserré, une bonne chose…
Mais pour les perspectives de simplification, nos craintes demeurent !

Nos organisations syndicales étaient pourtant ressorties de l’audience ministérielle du 3 septembre dernier un peu rassurées : un desserrement du calendrier de déploiement avait été acté par la direction ministérielle et nous avions pris connaissance en séance du rapport de l’IGESR sur le sujet qui objectivait des situations de souffrance au travail subies par de trop nombreux-ses collègues.

 

Déclaration commune des organisations syndicales

vendredi 4 octobre 2024

Rentrée 2024 en Lycée Général et technologique

Après des réformes illégitimes et réactionnaires, maintenant des hauts cris sur les dépenses publiques… qui annoncent de nouvelles coupes dans le budget ! Pendant ce temps, la crise du recrutement s’aggrave, des postes ne sont pas pourvus et nos métiers sont mis à mal. Si nous constatons quelques reculades (mise en pause de la réforme du brevet, réduction des programmes de SES en terminale, réduction budgétaire sur le PACTE…), la rentrée 2024 prolonge la dynamique des années précédentes. Vous trouverez dans cette publication le premier bilan qu’en tire la CGT Éduc’action pour les lycées généraux et technologiques.

 

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