dimanche 2 novembre 2025

6 novembre - mobilisation unitaire des retraités

 


Retraites : tout part de votre fiche de paie

 Les retraites sont directement liées au salaire et à l’emploi. La CGT décrypte votre fiche de paie. 

 

Savez vous lire votre fiche de paie ? tout y est.

 

 

Il manque une part du gâteau !

100 milliards d’euros de dividendes versés aux actionnaires en 2024… un record ! En privilégiant la rentabilité financière à court terme, le CAC 40 et les multinationales affaiblissent l’emploi et étouffent les petites entreprises. Si on augmente la part des bénéfices qui va aux salaires plutôt qu’aux actionnaires, on finance en même temps les retraites.

LE SAVIEZ-VOUS ?
Les revenus des ultrariches ont plus que doublé en vingt ans en France. En février 2025, l’Assemblée nationale a adopté une proposition de loi instaurant un impôt plancher de 2 % sur le patrimoine de ces ultrariches, soit environ 1 800 foyers (si c’était adopté au Sénat). Cela permettrait de rentrer 20 milliards d’euros chaque année dans les caisses de l’État.

LE SAVIEZ-VOUS ?
Depuis 2003, les fonctionnaires doivent cotiser à un régime par capitalisation. Mais, pour récupérer sa « mise » par rapport à ce que l’on a versé, il faut passer 26 ans à la retraite… sauf que la durée de vie moyenne à la retraite est de 24 ans !

CONVENTION COLLECTIVE = PROTECTIONS COLLECTIVES
La convention collective fixe les droits et garanties collectives d’une branche professionnelle. Elle accorde des droits supplémentaires adaptés aux spécificités des secteurs (primes, congés, protections spécifiques…).

PAYER LES QUALIFICATIONS, C’EST FINANCER LES RETRAITES
La non-reconnaissance des qualifications et l’absence de déroulement de carrière organisent le déclassement de plus en plus de cadres et de professions intermédiaires
– notamment de nombreux métiers féminisés. Face à la pression patronale qui tire les salaires vers le bas, la CGT revendique la reconnaissance des qualifications, la transparence
des grilles salariales, la garantie de l’évolution de carrière et l’indexation automatique de tous les salaires sur les prix.

PRIMES NON COTISÉES : LE PIÈGE ! 
L’intéressement, la participation et certaines primes ne comptent pas pour la retraite. Résultat ? Un revenu gonflé sur le moment pour celles et ceux qui en perçoivent, mais aucun droit pour plus tard.

CSG : UN PRÉLÈVEMENT QUI NE CRÉE AUCUN DROIT
La contribution sociale généralisée finance le déficit de la Sécurité sociale en étant prélevée sur presque tous les revenus (salaires, retraites, allocations…). Elle n’ouvre aucun droit à des prestations sociales. Elle est régulièrement augmentée pour compenser les exonérations de cotisations. Elle fait peser une part croissante du financement de la protection sociale sur les travailleur·ses et les retraité·es. La CGT revendique le financement par les cotisations.

EXONÉRATIONS DE COTISATIONS : C’EST VOUS QUI PAYEZ
Depuis 30 ans, les exonérations de cotisations sociales ont explosé. Pourtant, ces cadeaux aux employeurs ont un impact quasi nul sur l’emploi… et négatif sur les salaires !
Les patrons sont incités à compresser les salaires vers le bas car plus un salaire est proche du Smic, plus il y a d’exonérations.
Les salarié·es payent donc trois fois :

  1. les évolutions de carrières sont bloquées ;
  2. les droits sociaux sont sous-financés ;
  3. ces exonérations de cotisations sont compensées en grande partie par l’État – donc avec vos impôts !

ATTENTION IMPOSTURE !
L’extrême droite est l’amie du patronat ! Elle soutient les exonérations de cotisations qui assèchent nos régimes de retraite. Elle vote toujours dans l’intérêt des actionnaires et des grands groupes. Elle est contre l’indexation automatique des salaires sur les prix.

FIN DE CARRIÈRE, LA GALÈRE
L’assurance chômage n’est ni un luxe, ni un cadeau, c’est un droit auquel on accède parce qu’on a travaillé et cotisé. Mais, les dernières réformes ont durci les conditions d’indemnisation de l’assurance chômage. 

Recul de l’âge de départ à la retraite + réduction de la durée d’indemnisation + baisse du niveau des droits = précarité grandissante, notamment pour les senior·es.

CONGÉS PAYÉS ET RTT : DES CONQUÊTES SOCIALES !
Les congés payés et la réduction du temps de travail ne sont pas tombés du ciel : elles ont été gagnées par les luttes, engagées notamment par la CGT depuis sa création, il y a 130 ans.

À LA POINTE DU PROGRÈS
Certains régimes de retraite (SNCF, RATP, EDF) ont permis une meilleure reconnaissance de la pénibilité du travail et étaient précurseurs. Plutôt que de les supprimer, il faut étendre ces droits. C’est en ce sens que ce sont des régimes pionniers : ils montrent le chemin – alors rétablissons-les !

COTISATIONS SOCIALES : NOTRE PROTECTION SOLIDAIRE !
Les cotisations sociales, c’est bien plus que des lignes sur la fiche de paie. Elles servent à financer la santé, la retraite, le chômage, les congés parentaux et bien d’autres protections essentielles. Chacun·e cotise selon ses moyens et reçoit selon ses besoins. C’est une façon de mutualiser les risques pour ne pas être seul·e en cas de coup dur. C’est aussi le principe qui a inspiré la naissance de la Sécurité sociale il y a 80 ans. Afficher ces lignes sur le bulletin de salaire, c’est permettre aux salarié·es de connaître leurs droits.

ACCIDENT DU TRAVAIL / MALADIE PROFESSIONNELLE : QUAND LE TRAVAIL USE… ET TUE
Alors que l’espérance de vie en bonne santé stagne autour de 64 ans, chaque année travaillée en plus augmente les risques de maladies professionnelles, les accidents du travail et l’usure prématurée, notamment pour celles et ceux qui exercent des métiers pénibles.

AGIRC - ARRCO

Ce sont les retraites complémentaires des salarié·es du privé. La création de l’Agirc a permis que les cadres rejoignent et contribuent au système solidaire par répartition plutôt que de se tourner vers un système assurantiel ou individuel. L’épargne, c’est le chacun-pour-soi, alors que
la retraite, c’est une garantie collective.

 

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De l'argent il y en a

 

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[Tribune] « Le travail tue, et il tue des mineurs »

 Plusieurs secrétaires généraux de l’organisation cégétiste alertent, dans une tribune au « Monde », sur les risques au travail des mineurs en formation. Ils appellent à la suppression des périodes en entreprise non formatrices et des stages dits d’« observation » en classes de 3ᵉ et de 2de. 

 

« Le travail tue, et il tue des mineurs »

Entre avril et juillet, cinq jeunes sont morts au travail. Parmi eux, un apprenti de 15 ans, un lycéen de bac pro de 17 ans, deux élèves de 16 ans en « séquence d’observation » de 2de ont perdu la vie en entreprise. Le plus jeune des morts était un élève de 3e.

Ce ne sont pas des « faits divers » isolés, mais une réalité cruelle : le travail tue, et il tue des mineurs. Selon le dernier rapport annuel de l’Assurance-maladie sur les risques professionnels, en 2023, 1 287 décès liés au travail seraient à déplorer, maladies professionnelles et accidents de trajets inclus, dont 810 accidents du travail reconnus. En la matière, la France est parmi les mauvais élèves de l’Union européenne.

Les moins de 25 ans sont surreprésentés dans les accidents du travail : 2,5 fois plus que le reste des salariés, selon l’Institut national de recherche et de sécurité (INRS). En 2023, toujours d’après les statistiques de l’Assurance-maladie, 32 travailleurs de moins de 25 ans cotisant au régime général sont décédés sur leur lieu de travail, 38 si l’on compte les cotisants à la Mutualité sociale agricole.

Exécution de tâches, parfois dangereuses

Ces chiffres auraient dû alerter. Pourtant, le choix a été fait, depuis 2022, d’augmenter les temps de présence des mineurs en entreprise sous prétexte d’améliorer l’orientation et l’insertion professionnelle : stage d’observation pour les élèves de 2de générale et technologique, aides financières massives pour développer à marche forcée l’apprentissage, parcours différenciés en terminale bac pro.

L’entreprise est un mauvais lieu de formation. D’une part, les stages et l’apprentissage sont discriminatoires dans la mesure où ils reproduisent les inégalités d’accès au marché de l’emploi. D’autre part, poussée par une logique de rentabilité, l’entreprise n’a pas le temps d’accompagner les jeunes : les stages d’observation deviennent rapidement des stages d’exécution de tâches, parfois dangereuses.

En mécanique auto, par exemple, un apprenti ou un stagiaire peut se retrouver à dévisser des pneus à longueur de semaines : aucune plus-value pédagogique… À l’inverse, dans un atelier de lycée professionnel, les élèves vont apprendre à travailler en toute sécurité sur des pannes et des activités de plus en plus complexes.

De plus, au prétexte de « lever des freins » à l’entrée en apprentissage, la loi pour la liberté de choisir son avenir professionnel de 2018 a diminué la protection des apprentis mineurs : dérogation aux durées maximales hebdomadaire (trente-cinq heures) et quotidienne (huit heures), assouplissement du travail de nuit… La dangerosité de l’entreprise se manifeste également par l’exposition des jeunes à des substances cancérogènes.

« Des filières particulièrement exposées »

La sociologue et codirectrice du groupement d’intérêt scientifique sur les cancers d’origine professionnelle Zoé Rollin le confirme : « Nous avons identifié des filières particulièrement exposées, la mécanique et la carrosserie automobile, la coiffure et l’esthétique, et la rénovation de bâtiment. Le taux d’exposition à des cancérogènes y avoisine les 90 %. »

Nous n’oublions pas non plus les violences sexistes et sexuelles au travail (VSST) dont peuvent être victimes les apprentis et les stagiaires, et contre lesquelles il n’existe aucune politique de prévention. Les jeunes sont catapultés dans la vie professionnelle – un monde d’adultes très hiérarchisé – et n’osent souvent pas parler lorsqu’ils en sont victimes par crainte de perdre leur contrat d’apprentissage ou leur stage et de compromettre l’obtention du diplôme préparé.

Nous l’affirmons avec force, il faut supprimer les périodes en entreprise non formatrices, les stages dits « d’observation », en 3e et en 2de générale et technologique, qui n’ont pas de réel intérêt et contribuent à accroître les inégalités. L’apprentissage avant 18 ans doit être interdit : les jeunes doivent être à l’école et non mourir au travail !

Des mesures immédiates et concrètes

Une étude réalisée par l’INRS révèle que les jeunes de moins de 25 ans formés en santé et sécurité au travail pendant leur scolarité ont deux fois moins d’accidents du travail que les autres. Il est nécessaire de renforcer cette formation des jeunes travailleurs aux règles élémentaires du droit du travail, notamment aux règles relatives au droit de retrait, aux principes généraux de prévention et aux possibilités de saisir l’inspection du travail, dès le lycée et dans les centres de formation des apprentis (CFA). En cas de danger ou de VSST, les apprentis et les stagiaires doivent pouvoir savoir vers qui se tourner et exercer leur droit de retrait sans aucune conséquence, ni sur leur parcours scolaire ni sur leur rémunération.

Pour s’attaquer au fléau des accidents du travail, il faut des moyens et des mesures immédiates et concrètes. Parmi eux, une interdiction stricte des travaux dangereux avant 18 ans, un contrôle de conformité des conditions de travail par les services de l’inspection du travail avant la conclusion du premier contrat d’apprentissage. Il est nécessaire de mettre en place une politique pénale intransigeante qui sanctionne sévèrement la délinquance patronale ainsi qu’un doublement des effectifs de l’inspection du travail et des services de prévention.

Les choix politiques et budgétaires des dernières années ont été opérés au détriment des travailleurs et, à l’évidence, au détriment des jeunes en formation qui sont parmi les plus exposés aux risques. La vision managériale néolibérale est une régression sociale : les droits conquis au travail, à la sécurité et au bien-être ne cessent d’être attaqués, et le patronat impose une mise en concurrence rétrograde des travailleurs et des travailleuses.

 

Les signataires

Cécile Clamme, secrétaire générale de l’Union nationale CGT-Travail Emploi Formation professionnelle ; Christophe Delecourt, secrétaire général de l’UFSE-CGT ; Michaël Marcilloux, cosecrétaire général de la CGT-Educ’action ; Charlotte Vanbesien, secrétaire générale de la FERC-CGT ; Isabelle Vuillet, cosecrétaire générale de la CGT-Educ’action.

jeudi 16 octobre 2025

Cadre de gestion des AEd : tant attendre pour que rien ne change.

COMMUNIQUÉ DE PRESSE

Le jeudi 9 octobre 2025, le ministère de l’Éducation nationale a publié le nouveau cadre de gestion des Assistant·es d’Éducation au Bulletin Officiel. C’est un euphémisme de dire que cette circulaire s’est faite attendre alors que de profonds changements comme l’accès à la CDIsation (2022) sont intervenus ces dernières années. Si des « concertations » insatisfaisantes avaient eu lieu début 2024, tout était au point mort depuis novembre 2024 jusqu’à la publication de ce texte… sans modification substantielle.

Ainsi, malgré quelques clarifications sur les conditions d’emploi, la précarité demeure la règle pour ces personnels :

  • Les conditions de renouvellement en CDD sont entièrement dépendantes de la volonté de la direction de l’établissement, et la mise en place d’une nouvelle procédure d’évaluation des AEd suscite les plus grandes inquiétudes : de nombreux critères reposent sur des savoir-être et savoir-faire alors même qu’aucune formation réelle n’est mise en place pour permettre de les acquérir.
  • L’accès au CDI reste dépendant de deux arbitraires : la validation par les chef·fes d’établissements et par les services du rectorat. Ainsi, ce n’est toujours pas un droit pour toutes et tous les AEd ayant exercé leurs missions pendant 6 longues années.
  • Les propositions de grilles d’évolution des rémunérations ont toujours été refusées lors des concertations et ne figurent toujours pas dans la circulaire alors même que certain·es AEd dépassent désormais les 9 ans de service.
  • Rien n’est abordé quant aux possibilités de mobilité des personnels qui souhaitent muter d’un établissement à l’autre.
  • Les conditions d’exercice dans les internats sont soumises au « droit coutumier » des établissements car rien ne cadre clairement leur fonctionnement. Cerise sur le gâteau : les heures de nuit ne sont comptabilisées que comme un forfait de 3h pour une présence effective d’au moins 8h.

Au côté des AEd, la CGT Éduc’action se bat pour le respect du cadre de leur mission, l’arrêt des non-renouvellements arbitraires et la mise en place de toute urgence d’une grille de salaires !

Elle rappelle surtout qu’elle porte la revendication de la création d’un Statut de catégorie B pour les AEd et d’un statut d’étudiant·es salarié·es amélioré pour celles et ceux suivant des études.

Montreuil, le 14 octobre 2025

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Nomination d’Ed.Geffray : pas de rupture en vue et un mauvais signal envoyé

COMMUNIQUÉ DE PRESSE

Alors que certain·es de ses prédécesseur·euses n’étaient pas spécialistes de l’Éducation, le nouveau ministre Geffray connaît l’institution et ses rouages pour avoir été numéro 2 de ce ministère pendant plusieurs années. En tant que directeur des ressources humaines puis de l’enseignement scolaire, il a été un des rouages essentiels des politiques menées dans le champ de l’Éducation lors des quinquennats Macron.

Véritable bras droit de JM.Blanquer (que les personnels n’ont pas regretté après l’avoir largement combattu), il est comptable de la mise en place et de l’application de très nombreuses réformes dénoncées par la CGT Éduc’action et la communauté éducative : École de la confiance, généralisation du tout-évaluation, Choc des savoirs-tri social-groupes de niveaux-labellisation des manuels, réforme du bac, réforme de la voie pro…

Alors que le nouveau gouvernement devait annoncer la « rupture » avec les politiques menées des dernières années, cette nouvelle nomination ne marque en rien cette « promesse » et annonce, au contraire, un retour probable d’une politique aux effets délétères pour les personnels et les élèves. Cette nomination est une mauvaise nouvelle à l’heure où l’enquête Talis (sur l’état de l’École) indique que les personnels se sentent abîmés après des années de contre-réformes et méprisés par des politiques éducatives autoritaires.

Plus que jamais, la CGT Éduc’action appelle à maintenir et amplifier la mobilisation pour un changement de politique, pour l’abrogation des réformes macronistes dans l’Éducation et pour construire un autre projet. Elle appelle d’ailleurs tous les personnels à se mobiliser et se mettre en grève demain mardi 14 octobre contre la réforme de l’Enseignement professionnel, mise en application par le nouveau ministre de l’Éducation.

Montreuil, le 13 octobre 2025

Télécharger le communiqué de presse

Infos rentrée : Assistant.es et conseiller.ères techniques du service social

La rentrée s’est déroulée dans un contexte de mobilisation et de contestation sociale. Rien d’étonnant au regard des choix politiques ultra-libéraux ayant évidemment des conséquences dans notre secteur de l’éducation. Ces choix ont un impact direct sur la situation des publics reçus par les personnels : situation socio-économique, état psychique, malaise social et sociétal etc… Les conditions de travail des personnels sont intolérables : moyens humains constants, redéploiements inacceptables, salaire bloqué avec un pouvoir d’achat qui se réduit, organisation du travail hors sol. Rares sont les établissements où l’équipe médicale et sociale est au complet, sachant que les personnels interviennent dans plusieurs établissements ou écoles. Il est urgent d’investir dans l’Éducation nationale pour la réussite et le bien-être de toutes et tous les élèves.

tract AS oct 25-13 OCT

Infos rentrée : Infirmier.ère de l’Éducation nationale

La rentrée s’est déroulée dans un contexte de mobilisation et de contestation sociale. Rien d’étonnant au regard des choix politiques ultra-libéraux ayant évidemment des conséquences dans notre secteur de l’éducation. Ces choix ont un impact direct sur la situation des publics reçus par les personnels : situation socio-économique, état psychique, malaise social et sociétal etc… Les conditions de travail des personnels sont intolérables : moyens humains constants, redéploiements inacceptables, salaire bloqué avec un pouvoir d’achat qui se réduit, organisation du travail hors sol. Rares sont les établissements où l’équipe médicale et sociale est au complet, sachant que les personnels interviennent dans plusieurs établissements ou écoles. Il est urgent d’investir dans l’Éducation nationale pour la réussite et le bien-être de toutes et tous les élèves.

tract INF oct 25-13 OCT